Retrouvailles, entre ex-coéquipiers [PV: Karot ]

Depuis la rencontre avec cet homme poisson, je n'arrête pas de penser à ce qu'il pouvait bien exister d'autre dans ce vaste monde. Peut-être des géants ? Ou alors d'autre spécimen ultra rare ! Plus je découvre de choses et plus mon admiration envers papa ne cesse de croître. Lui qui a déjà tout classé, nagé dans des eaux sombres et terrifiantes. Partant de l'île des brigand; Jaya, j'étais toujours en quête d'information pour me rapprocher de ma famille..

A bord de mon petit navire de fortune, je restais près de la porte de la cabine, me laissant emporter par la mer et le vent. Mon imagination me jouait des tours, je me demandais bien quand est-ce que nous allions partir pour le nouveau monde. Une mer où plusieurs rumeurs circulent.. Une mer ou père n'a pas été, il est de mon devoir de reprendre ce qu'il n'a pas put faire ! Entre ce que je veux faire, et ce que je dois faire ; il y a une grande différence.. Je devais faire un choix. Retrouver ma véritable famille ? Ou alors poursuivre le rêve de mes parents adoptifs ? Surtout que je ne sais pas ce que ça fait moi d'avoir un vrai père et une vrai mère.. Goûter à l'amour qu'une réel famille peut vous apporter, je n'en ai aucune notion et je voudrais bien en avoir un petit aperçu. Moi qui désire tout avoir, il y a bien une phrase qui me stop ; On ne peut pas tout avoir dans la vie. Sans le savoir, mon bateau heurta le sable d'une plage.

D'un mouvement brusque, mon corps se glissa contre la paroi du bateau puis, une bosse apparu sur ma tête. Tenant ma tête, j'avais beau avoir un fruit qui était sensé me rendre plus résistant. La douleur se faisait toute de même ressentir.. Soudain, une poignée d'homme portant un uniforme noir pointèrent leurs armes sur ma petite tête d'ange. D'un regard indifférent, je leurs montrais ma voile blanche de mon petit index, tout en ayant une tête de petit enfant perdu.


L'air sage et en cachant la marque de Barbe Blanche, je suivis les officiers regardant le sol. Tous regardaient mes air treck qui me firent avancer sans que je ne bouge mes jambes. Il est vrai qu'un gamin portant de telle engins ne doit pas être issu d'une famille pauvre, c'est ce que l'on peut penser. Arriver à leur cours de justice, ils me demandèrent mon nom, mon prénom. En mentant bien comme il le fallait, je leurs avais dit que j'étais partis faire des courses pour ma famille souffrante. En tant qu'aîné, je n'avais pas le choix. Ils me crurent sur parole et me relâchèrent pour que je puisse faire mes emplettes.

En sortant de l'enfer qu'est le post de police, j'étais content de pouvoir visiter une autre île ! Pendant que les forces de l'ordres se chargèrent de ramener mon bateau au port, je sortis une photo de mon popa et allais de ce pas des informations aux habitant. Fonçant à toute vitesse, quand soufain, mon visage se cogna contre deux bosse dur comme de la pierre.



Je m'étais rendu compte que je m'étais cogner contre les fesses d'un monsieur a la longue chevelure blonde. En me cognant contre son derrière, je me retrouvais assis a terre, essayant de contenir la douleur sur tout mon visage.