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 Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor]

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MessageSujet: Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor]   Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor] EmptyVen 6 Déc - 21:01

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||Je m'excuse déjà pour la longueur, mais je n'ai pas le temps de faire mieux. J'espère que ça te conviendra quand même.||
Quand la Mouette rencontre le Goéland

Feat: Grimdell D. Alastor


Le Thousand Sunny venait d'accoster sur une île en grande partie déserte, après avoir essuyé l'une des nombreuses surprises que nous réserve le Nouveau Monde. Sans me vanter, c'est quand même grâce à moi qu'on s'en est tous tiré sain et sauf. Enfin presque, Sanji avait eu une nouvelle hémorragie nasale en regardant une nouvelle mon corps de rêve. Moi, narcissique ? Naaaan, je suis juste de très bonne humeur de ne pas être morte plus tôt. Je peux bien me complimenter un peu non ?

Bref, pendant que Franky et Usopp s'activaient à remettre le Sunny sur pied, notre petite peluche s'occupait elle du blond. Les autres vaquaient eux à leurs occupations habituelles: Robin arrosait ses fleurs qui avaient étrangement survécu, Brook lui demandait de lui montrer ses sous-vêtements, Zoro ronflait au pied du met, et enfin Luffy profitait du fait que le cuistot soit K.O. pour se goinfrer en cachette. Quand à moi, comme les réparations allaient sans doute prendre un peu de temps, j'avais décidé de faire quelque chose que je n'avais pas fait depuis longtemps, la cartographie d'une île, de cette île. Je n'en connais d'ailleurs toujours pas le nom. J'ai donc emporter mon matériel dans un sac à dos avec quelques provisions et évidemment, mon précieux Sorcery Clima-Tact, sait-on jamais, je pourrai me retrouver nez-à-nez avec des animaux aux sauvages ou alors avec des soldats de la Marine. Mais je dois avouer que je ne pense pas en croiser sur cette île perdue en plein océan, déjà que nous sommes arrivés ici par hasard.

Me voila désormais, au sommet d'une colline surplombant la côté et ses alentours, entrain de relever les différents mesures dont j'aurai besoin afin de faire ma carte. La chaleur dégagée par l'astre solaire me fit frissonner. En même temps, entre notre passage sur l'île des hommes-poissons, et les diverses tempêtes que nous avions du surmonter, je n'avais pas vraiment eu le temps de prendre un bain de soleil. Je ne peux même pas les laisser seuls sur le navire dix minutes sans que ça ne vire au drame. Heureusement que le Sunny ne peut reprendre la mer avant un moment, sinon je les retrouverai sûrement perdu au large. Je préfère d'ailleurs ne pas y penser, ces crétins seraient capable d'y arriver quand même. Je sors ma bouteille d'eau afin de me désaltérer un peu, ce soleil avait beau me donner des frissons, il tapait fort quand même ! Tiens, je crois que je vois un navire au loin. Ce ne serait quand même pas eux...? Je plongea ma main dans mon sac, et en extirpa une paire de jumelle pour mieux voir ce que j'espérais être qu'une hallucination. Finalement, j'aurai sans doute préféré ne rien voir, ce n'était pas le Sunny que je voyais là-bas, mais bel et  bien un navire de la Marine, en piteuse état lui aussi. Mais il devait quand même abriter des soldats ayant assez de forces pour combattre. J'ai rangé mon matériel et mes notes dans mon sac à dos, avant de le charger sur mon dos et de m'empresser de rejoindre les autres afin de les avertir d'une possible attaque. Au bas de la colline, je me suis mise à courir pour les prévenir le plus vite possible, mais quelque chose me saisit alors par le bras. Ma chevelure rousse fouetta l'air quand je me retourna afin de voir mon agresseur, c'était un soldat. Mais comment avait-il bien pu arriver si vite alors que je venais de voir leur navire au large de l'île ? A moins qu'il n'y en avait déjà un.
Je dégaina mon Sorcery Clima-Tact, et pointa l'une de ses extrémité sur l'homme.
"Lâchez moi !"
Une mini-tornade ayant la puissance d'une balle de revolver le frappa en pleine tête. Cette technique n'était pas faite pour tuer, mais plus pour repousser un adversaire un peu trop envahissant.
Une fois libre, j'allais continuer ma route, mais un autre individu m'attrapa et me bloqua pour empêcher toute riposte, il avait également placé sa main sur mon visage pour m'empêcher d'appeler à l'aide. Mais que ce passe-t-il sur cette maudite île ?!

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MessageSujet: Re: Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor]   Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor] EmptySam 7 Déc - 15:17

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La mer du Shin Sekai est toujours aussi dangereuse même pour un marin aguerri tel que le Contre-Amiral Alastor. Toujours en pleine quête de recrutement pour reformer le terrible équipage des Salopards, son bâtiment a été pris dans une grosse tempête. Il a bien évidemment sauvé le bateau et ses hommes, mais le navire a hélas subit quelques avaries mineur. Cependant afin d’éviter que ces dommages, même minime, deviennent une faiblesse en cas de bataille navale, il décide d’une réparation. L’équipage rejoint donc une île non loin de là, et afin de ne pas être vu pendant le temps nécessaire aux réparations, le navire la contourne afin de se dissimuler derrière elle. Le Contre-Amiral, son second et la moitié des soldats embarquent à bord de barques afin de rallier la terre. Les travaux du Cerbère nécessitent du bois et de la sève afin de le remettre dans un état quasi-neuf. Sacré coïncidence étant donné qu’ils faisaient justement voile pour aller recruter deux Charpentiers-Désosseur. C’est le Lieutenant Heximo, son tireur d’élite, qui reçut l’ordre de rester à bord avec l’autre moitié des hommes. En effet, Alastor considère que son Canonnier-Chef est la meilleure personne pour défendre le navire en cas d’attaque. Car si le bateau ne peut pas bouger, rien n’empêche les canons de faire feu et le Lieutenant reste le numéro un lorsqu’il s’agit de faire mouche avec un boulet. De plus, son second est bien plus utile à ses côtés, car après tout rien ne vaut un habile bretteur lorsqu’il s’agit de trancher quelque chose. Même si ce fameux quelque chose s’avère n’être que du bois.

Lorsque finalement la petite embarcation atteint l’île, tous ses passagers mettent pied à terre et Alastor dispense alors ses ordres. Séparant ses troupes pour couvrir bien plus de terrain, il confie au Lieutenant-Colonel Aubernathy la tête des apprentis bûcheron, tandis qu’il prend lui-même le commandement de ceux assignés à la récolte de la sève. Il forme un dernier groupe de ses soldats les plus aguerris pour que ceux-ci explorent l’île en quête de formes de vie potentiellement dangereuses. Il leur recommande la plus grande prudence et surtout la plus grande discrétion. La plage de leur débarquement fait office de point de rendez-vous et une fois le speech achevé, les groupes se séparent afin d’accomplir leur propre tâche. Durant plusieurs heures, chacun s’affaire à son travail et c’est le groupe du Contre-Amiral qui arrive le premier au point de rencontre avec des seaux remplis à ras bord de suc végétal. Pas loin d’une heure plus tard, c’est au tour du groupe d’Adria de pointer le bout de son nez avec environ trois stère de bois. La journée se poursuit sans que le groupe de recherche n’arrive, donnant suffisamment de temps pour le chargement des fournitures de réparations. Au troisième et dernier retour à terre, il ne reste, sur la plage, plus que le Contre-Amiral, son second et une petite poignée de soldats. Alastor, installé sur un rocher de la plage qui forme presque un trône, commence à perdre patience. Mais alors que son impatience et la décision d’abandonner les hommes se fait sentir, le bruit de pas et des buissons se fait entendre. Se redressant de toute sa taille et le regard sévère, prêt à engueuler purement et simplement ses hommes comme du vulgaire poisson pourri, il se fige.

Sortant des buissons, le groupe ramène quelque chose ou plutôt quelqu’un avec eux. Intrigué le Contre-Amiral saute de son perchoir et s’avance. Il se place devant cette silhouette féminine, étant donné les formes prononcées, ligotée et affublée d’un sac sur la tête. Adria, elle, se lève, rengaine sa lame et vient se placer juste en rentrait de son supérieur pour assister à la scène.

_ Qu’est-ce que c’est que ça Sergent ?

_ On l’a trouvé au sommet de l’île, et je pense que ça va vous plaire.

Interloqué par le sourire satisfait de ses hommes, il ôte le couvre-chef de la prisonnière, et en effet quelle surprise. Ligoté et à genoux devant lui se tient la fameuse chatte voleuse, Nami, la navigatrice de l’équipage des Mugiwara. Alastor est donc debout devant elle, le soleil placé dans son dos créant une ombre menaçante qui englobe la rouquine. Il dégaine son sabre pour placer le plat de la lame sur l’épaule de la jeune femme avec le tranchant à quelques centimètres seulement de sa gorge.

_ Bonjour, si jamais il te venait l’envie de crier à l’aide. Je me ferais un plaisir de te décapiter sur le champ. Compris ?

Dit-il avec un grand sourire et ses yeux perçant braquées sur elle, la fixant avec insistance. Sans sourciller, il s’adresse cette fois-ci à ses hommes.

_ Ainsi donc les Chapeau de Paille sont ici.

_ Oui. Ils ont accosté de l’autre côté de l’île. D’après ce qu’on a pu voir, ils réparent leur navire.

_ Mhm…

Ses yeux toujours fixés sur Nami, le Contre-Amiral réfléchit. Même si la situation est alléchante, son équipage est très loin d’être au complet. Ainsi les attaquer sur le champ ne serait pas la meilleure stratégie à employer, celle-ci comporte un risque d’échec bien trop important. Toutefois, la présence de cet otage peut entrer en sa faveur pour un affrontement prochain.

_ Alors dis-moi Nami des Mugiwara. Qu’est-ce qui m’empêche de te torturer, de te tuer et ensuite de te laisser pourrir au soleil ?

Son sourire devient carnassier et son ton sec et tranchant, autant dire qu’il est très facile de comprendre qu’il est assurément prêt à mettre sa menace à exécution.


Dernière édition par Grimdell D. Alastor le Sam 7 Déc - 19:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor]   Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor] EmptySam 7 Déc - 18:10

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Quand la Mouette rencontre le Goéland

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Une fois je fus complètement immobiliser, on m'attacha avec une corde et on me couvrit le visage avec un sac. Nan mais ils sont débiles dans la Marine ou ils le font exprès ? Je ne sais déjà pas où nous nous trouvons, c'est vraiment nécessaire de m'empêcher de voir ma destination ? Surtout que je la connais déjà, ils vont sans aucun doute me ramener à leur supérieur en étant fiers de leur trouvaille. Enfin. Au moins ils n'avaient pas jugé cela utile de me désarmer, il m'avait ligoter comme une grosse saucisse en me laissant mon arme à la main. Parfois je me demande vraiment comment ils recrutent leurs soldats. Tout en marchant à travers cette jungle luxuriante, je pris soin de laisser derrière nous quelques signes qui me permettront de retrouver mon chemin, tel q'une légère baisse de la température provoquée par une Cool Ball par exemple. Je n'étais certes pas d'une grande aide au corps à corps sans mon précieux Bâton Climatique, mais je n'en étais pas moins intelligente, ce qui ne semblait pas être le cas de mes bourreaux. Et j'avais au moins un sérieux atout comparé à eux: des amis qui remarqueraient rapidement ma disparition, du moins je l'espère toujours.

Après une bonne demi-heure de marche forcée, nous sommes arrivés sur une plage. Je le sais puisque j'en ais reconnu la sensation, et le bruit de la mer proche. On me fit mettre à genoux, comme si j'étais en présence d'une personne de sang royal, ce qui m'étonnerait quand même beaucoup.
Quand on m'autorisa enfin à voir la lumière du jour, un homme me surplombant passa sa lame le long de mon cou. en m'expliquant très clairement que si l'envie de crier à l'aide me prenait, il me trancherait la gorge. Je dois avouer que ce genre de comportement est plus digne d'un pirate sanguinaire que d'un gentil petit soldat de la Marine. En observant plus attentivement son uniforme, je vis qu'il portait plus de décoration qu'un simple soldat. Il était sans aucun doute l'un des ces hauts gradés de bas étage. Je suis trop forte, j'arrive à faire des jeux de mots complètements débiles dans une situation comme celle là. Oh mon dieu ! Je deviens comme eux ! Bref, en me parlant à moi même, j'en ais presque oublié les Marines se trouvant autour de moi. L'homme me menaçant avait une mine affreuse, on dirait qu'il n'a pas connu le soleil depuis des années.
Une jeune femme blonde se trouvait légèrement en retrait derrière lui, une épée à sa ceinture. Je me suis demander un instant s'ils maniaient tous le sabre dans cette unité.
L'un des soldat présent informa son capitaine de la présence du Sunny de l'autre côté de l'île. Donc je me trouve à l'opposé du reste de l'équipage.
"Alors dis-moi Nami des Mugiwara. Qu’est-ce qui m’empêche de te torturer, de te tuer et ensuite de te laisser pourrir au soleil ?"
Ce type ressemble décidément plus à un pirate qu'à un soldat de la Marine. Après cette réplique, un large sourire se forma sur son pâle visage. Le même sourire que fait une bête sauvage devant son dîner. Il avait beau être sinistre et flippant, il n'en restait pas moins un homme. J'ai donc décider de mettre mon charme à l'épreuve. Je fis en sorte que ma généreuse poitrine soit mise en valeur, avant de prendre un air de jeune fille en détresse, et de m'exprimer pour la première fois face à cette assistance.
"Se serait avec grand plaisir que je prendrai par à vos jeux de SM, mais les liens m'entravant me font terriblement souffrir. Je me tourna alors vers le soldat se trouvant à ma droite.Voulez-vous bien me les dé-serrer un peu ? Je vous promet que je ne tenterai rien, de toute façon je ne pourrai rien faire face à un homme comme vous."
L'intéressé bomba fièrement le torse, et s'approcha pour dénouer la corde qui m'entravait. Désormais, je pouvais bouger un plus ma baguette désormais, mais je ne comptais pas encore l'utiliser.
La blonde qui se trouvait non loin de là n'avais pas l'air d'apprécier mon petit cinéma vu la façon dont sa main se crispait sur la garde de son sabre. Je la regarda, enjouée, avant de lui lancer:
"Ne soit donc pas jalouse. Un coup de bistouri et tu auras tous de suite l'air plus jeune."
Ah, monsieur muscle avait terminé son dé-nouage, il m'avait même donner un peu de rab. J'écarta la tête du côté opposé à la lame de mon opposant, avant de jouer des épaules afin de me libérer.
Une fois mon Sorcery Clima-Tact assemblé et bien en main, je le fis tourner rapidement, m'effaçant progressivement de leur champs de vision.
"Mirage Tempo: Disparition !"

Une fois complètement invisible à leurs yeux, je me mis à m'enfuir, leur laissant la corde avec laquelle ils m'avaient attaché.
Il faut que je prévienne les autres au plus vite !


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MessageSujet: Re: Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor]   Quand la Mouette rencontre le Goéland [PV Grimdell D. Alastor] EmptySam 7 Déc - 19:35

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[HRP : Désolé mais là c'était un peu trop gros XD Je ne pouvais pas laisser passer, désolé ^^'']

Contre toute attente, la jeune rouquine se met à ouvrir la bouche, mais hélas pour elle ce qui en sort ne ravi pas du tout Alastor. Alors qu’elle use de son charme pour appâter un de ses hommes, son sourire s’agrandit car visiblement il est en présence d’une joueuse. Il est vrai que certains des soldats n’ont pas vu de femmes depuis un bail. Bon certes il y a toujours le Lieutenant-Colonel, mais à moins de vouloir finir émasculé, mieux vaut s’en abstenir. Le cœur de glace du Contre-Amiral laisse pour le moment faire tandis que le Marine s’avance vers Nami avec des cœurs dans les yeux. Une fois ses mains à quelques centimètres de la jeune femme ligotée, le sabre d’Alastor s’abat à quelques millimètres des doigts du matelot qui fait un bond d’un mètre en arrière. Transpirant de peur en regardant son supérieur avec terreur, il s’excuse en reculant et en espérant surtout que la sentence ne soit pas la mort. Mais étant donné le poisson qu’ils viennent de lui ramener, le Contre-Amiral décide de laisser passer pour cette fois et de ne pas ôter la vie à son subordonné. Terminant de le fusiller du regard, il repose ses yeux, bien plus sympathique, sur Nami avec un sourire étrange sur les lèvres. Il s’avance vers elle, avec calme et élégance.

_ Je suis content que tu souhaites jouer jeune fille. Tu viens de sauver mon après-midi… Et la vie de l’un de mes subordonnés. Pour la peine, tu ne mourras pas aujourd’hui…

Finissant tout juste sa phrase, il lui assène un coup de pied direct dans le menton, dont la force suffit à la faire s’allonger sur le sol. Il place ensuite son pied sur sa gorge et l’écrase doucement pour l’étrangler. Tout en appuyant douloureusement sur sa trachée, il peste sur ses soldats avec rage.

_ À quoi est-ce vous pensez bande de crétins !! Vous comptez la désarmer ou bien !!

Un Marine s’empresse de se présenter à genoux aux côtés de Nami qui commence à manquer d’air sous la botte du Contre-Amiral. Le soldat saisit les bâtons qu’elle tient et ceux à sa ceinture, avant de reculer en les gardant dans ses bras. À cet instant, Alastor relâche finalement le cou de la jeune femme pour que l’air s’y engouffre de nouveau.

_ Bien où en étais-je… Ah oui… Tu sais Nami, tu devrais éviter d’énerver certain type de personne. Ou alors ce genre de personne pourrait très bien aller rendre visite à des personnes que tu aimes. Tel que le vieux Genzô ou tout simplement ta chère sœur Nojiko…

Menace absolument pas dissimulée, après tout l’Amiral Kizaru lui a donné carte blanche et Le Limier n’est pas du genre sympa, surtout lorsqu’il s’agit de faire du mal à un pirate. Adria, son second, toussote avec un petit sourire en coin devant le manège de son supérieur. Celui-ci se retourne vers elle et prend note de son conseil.

_ Vous dites ?... Mhm… Oui, vous avez raison…

Le Contre-Amiral se retourne vers la jeune rouquine, faisant deux, trois pas en arrière pour la laisser se relever sans trop de bobos.

_ Mon second, me fait habilement remarqué une chose. Je n’ai aucun talent pour les menaces dissimulées. On me comprend toujours de travers lorsque j’essaye d’en faire une. Je vais donc être un peu plus claire pour que tu suives ma pensée.

Posant son poing devant sa bouche et fermant les yeux, il se racle la gorge comme le fait un orateur avant de s’exprimer. Cela chose faite, il réouvre les yeux pour les rivés dans ceux de la jeune navigatrice tout en aillant un petit sourire au coin des lèvres.

_ Cher Nami, s’il te venait l’envie, ou l’idée, de t’amuser encore une fois à tester ma patience. Je peux te promettre de me rendre sur le champ à Kokoyashi, ton charmant petit village. Pour ensuite de t’envoyer, via Martin Facteur, la tête fraîchement décapitée de ta sœur et du vieil ami de ta chère Belmer.

Son ton est froid et sec, autant dire que le Contre-Amiral est tout à fait capable de le faire, et il le fera si cela peut lui permettre d’assurément mettre la main sur l’équipage des Mugiwaras. Intérieurement il est relativement content que son passage aux archives de Marineford ait pu lui apporter autant de précieux renseignements. D’ailleurs toujours grâce aux archives, il a pu consulter les rapports de leurs aventures et ainsi tracer un profil psychologique pour chaque membre de l’équipage des Chapeau de Paille. Et en l’occurrence la chère Nami ici présente tient plus que tout à sa petite île natale d’East Blue. Hors rien ne vaut un bon moyen de pression lorsque l’on négocie avec un otage non coopératif.

_ Sachant cela, tiens-tu toujours à jouer rebelles ?

La psychologie a toujours été une pierre angulaire des techniques d’interrogatoires. Sous la torture, un être humain déballera tout, même de fausses informations simplement pour que la douleur s’arrête. Hors avec un mal autre que physique, on se sent acculé et tout de suite on a tendance à vider son sac avec bien plus de convictions. Car à cet instant ce n’est plus notre propre vie qui est en jeu, mais celle de ceux qui nous sont chers et c’est leur bien-être que l’on tient entre les mains. Ainsi donc mieux vaut faire attention à ne pas trop jouer, car les pertes pourrait être terriblement douloureuse, inimaginable même.
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