Je tentais de cacher mon corps nu du mieux que je pouvais aux yeux de Kaze. Il détourna rapidement la tête, même si son regard c’était inconsciemment arrêter sur quelques parties de mon anatomie. Il rougit bien vite, et me dit :

Puis il me tendit sa veste, que je pris dans mes mains, avant de la passer sur mes épaules. Je fus surprise par son poids, excessivement lourd pour un vêtement de ce genre. Une fois ainsi revêtu, j’avais déjà moins froid et me sentis mieux. Et en plus, j’étais caché, empêchant Kaze d’être encore plus mal à l’aise. Je le gratifiai d’un « Merci », à voix basse. En le regardant, je constatai que je ne le laissais vraiment pas indifférent. En même temps, quel homme normalement constituer ne serait pas émoustillé dans une pareille situation ? Et je n’étais pas non plus une petite ingénue qui ne savait pas à quoi cet homme pensait à l’instant.

Si c’était vraiment ce qu’il voulait, il était tombé sur la bonne personne ! Habitué aux mœurs légères et frivoles, il n’était pas le premier à qui je faisais de l’effet. Même si le dernier remontait à loin, bien trop loin à mon goût d’ailleurs….

C’est ainsi que Kaze réveilla l’autre bête qui sommeille en moi (me demander pas combien il y en à en tout….). Je m’approchai lentement de lui, et posa une main sur son torse. Il me regarda, étonné, alors que dans mes yeux brillait une étrange lueur.
L’instant était étonnant, on l’aurait dit tout droit sortit de mes fantasmes… Mais bon, ça c’est aussi un secret !
Je me dressa sur la pointes des pieds, et approchais ma bouche de son oreille, comme si je devait lui dire quelque chose que personne ne devait savoir, et que nous n’étions pas seul dans la pièce. D’une voix suave et langoureuse, je lui murmurai :

Je me recula, le regardant toujours de la même façon, comme si j’essayais des deviner son corps sous ses vêtements.