Sujet: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Ven 1 Juin - 22:39
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C'est un jour sombre qui se levait sur le monde, un jour que Monkey D. Garp redoutait depuis quelque temps même s'il savait pertinemment qu'il allait arriver. La grande bataille entre l'amiral Aokiji et l'amiral Kizaru allait avoir lieu. Pour des raisons de sécurité, le combat aurait lieux dans le nouveau monde, Punk Hasard plus précisément, l'île était déserte à cause d'un accident qu'il y a eut quelque année auparavant. Un combat de titan entre la glace et le magma qui déterminerait non seulement l'avenir de la marine, car le gagnant serait le nouvel amiral en chef, mais par extension, celui du monde, car la marine était la justice du monde. Le vieux loup de mer avait un très mauvais pré-sentiment, il en regrettait parfois de ne pas avoir choisit la place d'amiral en chef lorsqu'on le lui avait proposé. Ce qui est fait est fait, on ne pouvait pas revenir sur le passé, sinon il changerait beaucoup de chose, c'était certain. Au fond de lui même, il espérait très fort que se soit Aokiji qui gagne cette bataille, c'était son préféré des amiraux et surtout il vouait une haine sans borgne à Akainu. Bien sûr si Akainu venait à gagner cette bataille, il ne lui ferait rien et inversement, même s'il ne pouvait lui pardonner ce qu'il a manqué de faire à la grande guerre de Marinford.
Pour ce changer les idées, le Grand père c'était rendu à Barano, l'île où son petit fils adoptif Ace c'était fait battre par le tristement célèbre Barbe Noire. Eux aussi, avaient livré un combat titanesque, il était impressionnant de voir que son petit fils avait tenue tête à ce pirate d'une extrême puissance. Garp n'en était pas revenu de voir à quel point son petit fils était puissant pour réussir à faire pratiquement égalité avec un des monstres les plus puissants des mers, il en était fière en plus et ça le rassurait, même si au final Ace avait perdu sans pour autant mourir sous les attaques destructrice, surement un manque d'endurance. Bientôt ça serait son autre petit fils, de sang cette fois, Luffy qui deviendrait tout aussi puissant, il n'en doutait absolument pas, et il avait hâte que se jour arrive, même si à cause de ses bêtises il allait donner beaucoup de fil à retordre et de travail à la marine. Garp ne pouvait être que fière de sa descendance, même de Dragon, son propre fils était quand même l'homme le plus recherché du monde mais ça ne l'empêchait pas de l'aimer et qui sait de le revoir.
Le vieil homme fit un tour de l'île, constatent les dégâts fait par leur combat, regardant les villageois qui étaient revenu tenter tant bien que mal de tout reconstruire avec difficulté. C'était triste à voir, mais c'était la vie, la marine aussi détruisant des villes lors de leur attaque, et c'était arrivé plus d'une fois même si l'on en parle pas dans les journaux, ce genre de bavure, il faut les camouflés sous des actes héroïques. Puis il alla se poser sur la plage, regardant l'horizon avec son paquet de gâteaux qu'il commençait déjà à manger. Le plus vieux des Monkey D. pensait à ce qu'allait devenir la marine si l'un ou l'autre gagnait, et il lui arrivait d'avoir un peu peur devoir le chien rouge remporter la victoire pour ensuite transformer la marine en quelque chose de bien plus violent. Mais il avait encore espoir car Aokiji n'avait jamais été aussi motivé pour un combat que celui là. Son fils et ses petits fils allaient avoir bien des difficultés si jamais Sakazuki venait à gagnait le titre d'amiral en chef, il ne pouvait s'empêcher de penser constamment à eux.
" Ha Dragon, quelque chose me dit que tu vas avoir beaucoup de difficulté dans les années à venir ... "
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Lun 4 Juin - 15:51
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-- Une rencontre inespérée --
Je naviguais tranquillement sur les mers de Grand Line en cette journée ensoleillé, la mer était d'un bleu magnifique et les reflets des rayons du soleil rendait ce spectacle encore plus merveilleux. J’étais paisiblement en train de maintenir mon cap lorsque mon Den Den mushi se mit a sonner, cela ne pouvait être que le QG de Baltigo qui voulait me confier une mission, ce Den Den mushi était prévu à cet effet :
"Kilik, c'est moi, comme tu t'en doutes on a une mission pour toi mais cette fois c'est différent, c'est une mission pour laquelle le boss t'as recommandé personnellement, chanceux va, bref, tu dois te rendre à Banaro, lieu où un combat entre Ace aux points ardents et Barbe noire à fait beaucoups de dégâts et d'après Dragon tu risques d'avoir une surprise en te rendant la bàs"
Génial, j'adore les surprises, bref je devais me rendre sur cette île et j'avais un grand sourire aux lèvres car c'est Dragon qui m'a spécialement recommandé pour allez faire un état des lieux, mais quelle surprise m'attendais là bas ? J’appréhendais beaucoup mon arrivée surtout que l'île commençait à apparaître dans mon champ de vision. Au moment d'accoster, j'ai eu un petit choc visuel, en effet je viens de Water Seven une île très moderne où il fait bon vivre, et là, j'avais l'impression d'avoir fait un bond dans le passé, les maisons étaient en bois, les habitants avaient des allures de péquenaud, bref, j'étais vraiment dépaysé. Outre ce dépaysement la ville était très calme, seul le bruit des marteaux se faisait entendre, il faut dire que cette île se remettait toujours des dégâts causés par ce combat qui a changer la face du monde car bien sûr c'est en quelque sorte le combat qui a condamné Ace et Barbe Blanche et qui a sonné le renouveau de tout un système déjà en place. Alors que je progressais dans l'île, j'ai remarqué que les habitants ne disait rien, ils se contentaient de réparer sans même me regarder. Mais que se passait-il ? C'est alors que mon oreille capta une conversation intéressante :
"Tss se ramener ici maintenant, ils se foutent vraiment de nous - Ouais Justice en bois"
De qui parlaient-ils ? Quelle Justice en bois, est-ce que la Marine était présente ? Non je n'ai vu personne c'est impossible... Mais étrangement au fur et à mesure que j'avançais, mon cœur battait de plus en plus vite, j'avais la même sensation que lorsque mon ami est mort, mais pourquoi cette sensation, pourquoi maintenant, que se passait-il... Je suais, comme si un danger imminent était là. Je me suis mis à courir sans aucune raison, je ne savais pas où j'allais, quelle était cette sensation, j'avais l'impression que peu importe l'endroit où j'allais j'étais toujours piégé. Je me suis arrêté pour reprendre mon souffle, et quand j'ai levé la tête je vis le dos de quelqu'un mais le plus choquant c'était le fait qu'il y ai écrit "Kaigun". Plus de doute possible c'était un Marine, toute mon anxiété était justifié, ce choc que j'ai subi lors de la perte de mon ami qui s'est fait abandonné par la Marine était toujours présent. Je me contentais de rester là, à l'observer, jusqu’à ce qu'il tourne légèrement sa tête, j'aurais juré que mon cœur s'était arrêté pendant 2 secondes, car le visage qui est apparu n'était autre que le visage de Monkey D. Garp, héros de la Marine et Père de notre chef Monkey D. Dragon. Mes jambes tremblaient je le fixais mais il ne m'avait pas encore remarqué, je ne pouvais pas fuir car j'étais en mission, et soudain tout pris un sens, la surprise de Dragon c'est ça, il voulait que je rencontre Garp mais pourquoi, j'avais 99% de chances de mourir s'il savait que j'étais un révolutionnaire, mais même s'il ne le découvrirai pas, j'étais obliger d'attaquer car je me suis juré de ne laisser aucun Marine sur ses deux jambes lorsque j'en croiserait un, mais je m'attendais pas à trouver Garp ici, Pourquoi Dragon, Pourquoi ? Alors que je le fixais toujours, il m'a finalement remarqué...
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Ven 15 Juin - 23:36
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La grande guerre de Marinford avait énormément secouer le grand père, il avait quand même vu son petit fis sur l'échafaud près à se faire trancher la tête, et avec son petit fils de sang qui venait à son secoure. C'était dure pour lui d'imaginé l'image du corps sans vie de ses deux petits fils encore si jeune et plein de vie. À chaque fois qu'il y pensait Garp se sentait mal, pas assez mal pour rendre ce qu'il avait digérer, il en avait vu d'autre, mais suffisamment mal pour douter de ce qu'il considère comme la valeur sûr de la justice. Tapant du poing sur le sable, il n'avait pas supporter le sort que Sengoku leur avait réservé, mais maintenant si c'était l'amiral Sakazuki qui reprenait les rennes, alors le pire était à imaginé. Il avait bien vu durant la guerre, la haine que cet homme ressentait pour ses petits fils. Si le vieux loup de mer n'appartenait pas à la marine, il lui aurait coller la tête contre sol et l'aurait même surement tué pour ce qu'il avait tenter de faire. Garp haïssait cet homme, et imaginer qu'il puisse être son capitaine le révulsait. La peur pour la vie de ses proches étaient trop grande, mais il ne pouvait quitter la marine, il devrait alors de l'intérieur surveiller priant pour qu'il ne leur arrive rien, une fois avait suffit à son cœur de grand père affectueux.
Puis il se calma, pensant à son fils, espérant qu'il ne lui arrive rien, car si Aokiji ne gagnait pas se combat de titan, c'était sûr et certain que la traque sur lui serait bien plus travaillé, il était l'ennemie numéro un du monde, en tête de la liste noire de ce cher Akainu. Garp avait en même temps peur pour lui et en même temps il était confiant, son fils Dragon n'était pas l'homme le plus recherché du monde pour rien, et puis si durant toutes ses années la marine n'avait pas réussit à lui tombé dessus ça n'était pas prêt d'arrivé de si tôt. Mais quand même, son inquiétude paternel était présente. Mangeant ses gâteaux le plus normalement du monde à regarder les vagues, il s'imaginait ce que son fils pourrait bien préparer contre le gouvernement mondiale cette fois, une nouvelle ère était arrivé, il n'allait donc pas rester les bras croisé bien longtemps, on parlait de Dragon tout de même. Puis il sentit une présence derrière lui, un gamin, un peu plus vieux que ses petits fils surement, en y pensant ça le fit sourire. Garp tourna légèrement la tête pour l'avoir dans son champs de vision et tendit son paquet de gâteau.
" Alors gamin qu'est ce que tu fais ici ? Tu veux des gâteaux ? J'aurais voulu les manger avec mon fils mais il bien trop loin, ça me rend triste. "
Le sourire aux lèvres et confiant, il regardait ce jeune homme qu'il voyait comme un gamin à cause de son jeune âge, ce qui est plutôt normal vu que lui était d'un age avancé. Garp avant bien besoin de partager un moment avec quelqu'un, sa famille lui manquait beaucoup, il avait envie de les savoir en sécurité mais n'en avait aucune preuve, et il voulait aussi les prévenir du danger qui risquait de planer sur leur tête prochainement et de surveiller se combat qui changerait la face de la marine, tout comme Marinford avait changer la face du monde.
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Dim 26 Aoû - 17:05
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[On se calme, j'étais en vacances]
-- Détermination --
" Alors gamin qu'est ce que tu fais ici ? Tu veux des gâteaux ? J'aurais voulu les manger avec mon fils mais il bien trop loin, ça me rend triste. " Me lança t-il, j'étais très surpris de ce comportement, alors que je n'avais qu'une seule idée en tête qui était de lui faire du mal, lui me proposait des gâteaux. Quel était son but et pourquoi était-il ici, et pourquoi Mon chef m'a envoyé ici à la rencontre de son père, je mis toutes ces questions dans un coin de ma tête et me dirigeais vers Garp avec un regard qui en disait long sur mon intention, mes larmes commençaient à couler le long de ma joue, les souvenirs refaisaient surface, j'éprouvais une telle haine a ce moment là que je ne faisais plus attention a ce qui se deroulait autour de moi. Une fois près de Garp, j'ai envoyé boulé son paquet de gateaux tout en le regardant d'un air menaçant :
"Comment osez-vous me proposer des gâteaux espèce d'assassins sans cœur, vous et votre clique n'êtes que des fouteurs de boxon sans aucune vergogne, vous devriez tous mourir, le monde s'en porterait mieux"
Après ces durs mots le visage de Garp resta de marbre, je ne sais pour quelle raison mais j'avais l'impression que mes mots l'avait touché ce qui ne retira pas ma haine pour autant, je détesterais toujours la Marine et ce jusqu’à mon dernier souffle de vie. Il ne savait bien évidemment pas que j'appartenais aux révolutionnaires mais il n'allait pas tarder à le savoir. Pendant que je fixais Garp mon Den Den mushi se mit à sonner :
"Kilik, t'es arrivé ?" - Ouais je suis arrivé et il se pourrait que je ne revienne pas - Que veux-tu dire par là ? - Je suis tombé sur le fameux Monkey D. Garp, c'était surement ça la surprise... - Attends, ne fait rien de stupide, je sais que tu t'es juré de mettre un terme à la Marine mais celui-là est d'un autre calibre - Désolé, mais je dois le faire, je suis un révolutionnaire et je fais juste mon travail, si jamais je ne reviens pas tu diras merci à Dragon ciao... - Kilik ! Kiliiiik! *ka-tcha*"
Une fois le Den Den mushi raccroché je vis que Garp tirait une tête étrange, car il avait entendu toute la conversion et savais que j'étais un révolutionnaire obéissant à son Fils et que j'étais prêt à mourir pour mes convictions, j'étais sur le point de dégainer mon bâton lorsque...
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Mer 19 Sep - 0:02
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Pour ce changer les idées et oublie son travail, Garp c'était réfugier sur cette île maudite où son petit fils Ace s'était fait battre par Barbe Noire, ce qui l'entraina à Impel Down en attendant son exécution prochaine. Pour lui tenir compagnie il y avait un jeune garçon, plus jeune que son fils de toute évidence, et le grand père avait bien besoin de compagnie, même si c'était un parfait inconnu. Hélas ce n'était pas si réciproque et le gamin avait une animosité envers lui. Garp regarda tristement ce jeune homme qui pleurait avancer vers lui, avant de regarder son paquet de gâteau tomber sur le sol. Il ne disait rien, il écoutait attentivement, une certaine tristesse en lui et aussi un dépitement d'un tel comportement. Garp comprenait le garçon mais en même temps il savait qu'il était trop jeune pour tout comprendre au subtilité de la vie, rien n'est tout blanc dans la vie, il y a du noir, le yin et le yang représentent parfaitement la vie. Lorsque le jeune homme eut fini de parler, Garp le regarda avec tristesse avant de pousser un soupire, ça lui faisait mal d'entendre ce genre de discourt de la part d'un gamin qui n'avait pas encore vécu autant de chose que lui avait vécu.
" Tu es encore bien jeune et tu crois tout savoir. C'est vrai que parmi les marines il y en a qui n'ont aucune pitié, mais il y a aussi des hommes de valeurs. Tu dis qu'on devrai tous mourir mais qui protégerais les civils ? Toi peut être ? J'en doute, tu ne pourrais rien contre tous ses pirates qui tuent des villages entier. Je suis sûr que tu ne te bats pas contre eux pour protéger des gens tu as mieux à faire. Alors dis moi qui protégerait tous ses gens si plus aucun marine n'existait ? Tu préférerais que tous ses innocents meurt ? Sache qu'au court de ma carrière j'ai sauvé plus de vie d'un royaume n'a d'habitant, j'ai même sauvé le fils de mon pire ennemie. Tu es loin d'avoir sauver beaucoup de vie et d'avoir combattu des pirates pour tenir un tel discourt. "
Garp était désolé de voir qu'un enfant voyait le monde si noir. Tout le monde avait sa part de souffrance, mais là il avait plonger dans l'extrême, et en tant que sage, le vieux loup de mer savait que c'était dangereux. Un den den mushi sonna, Garp s'étonna car le sien était rester sur son navire, mais il remarqua vite que ce n'était pas le sien mais celui du garçon, et le grand père pu entendre toute la conversation. Il était surprit de voir qu'enfaite il travaillait pour son fils Dragon, il savait bien que les révolutionnaires ne s'en prenait jamais à la marine pourtant, ils attaquaient directement le gouvernement mondiale jamais en dessous pourtant lui semblait prêt à attaquer. Garp soupira une nouvelle fois, il n'avait pas le cœur à se battre, encore moins contre quelqu'un travaillant pour son petit fils.
" Ainsi donc tu travail pour mon fils, j'espère qu'il se porte bien, j'avais pensé qu'il viendrait à Marinford, je m'étais donc inquiété de ne pas l'avoir vu. J'espère qu'il n'a pas eu de problème, enfin je pense que tu ne me répondra pas et qu'il faudra que je lui demande moi même. De toute façon tu n'as pas l'air de vouloir m'écouter … mais pense tu vraiment que se soit une bonne chose de m'attaquer ? "
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Dim 23 Sep - 18:47
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-- La Sagesse de l'âge --
Garp avait marqué un point, en tant que révolutionnaire je n'étais pas censé m'en prendre à la Marine, mais mon histoire est quelque peu différente, en effet mon meilleur ami est mort à cause de La Marine, et pour le venger je m'étais juré de détruire la Marine et le Gouvernement Mondial corrompu avec. Certes à moi tout seul je ne pourrais pas protéger tous les innocents mais mon objectif est clair, la vraie justice pour tout le monde, et je savais que Dragon partageait le même point de vue que moi et avec un homme d'un tel calibre et notre gigantesque armée nous n'aurions aucun mal à protéger les gens qui avaient besoin d'aide. Mais Garp persistait à croire que la Marine était indispensable, chose qui m’insupportais encore plus, plus il parlait et plus ma rage augmentait, j'avais l'impression qu'il ne comprenait pas que je souffrais d'une blessure qui ne guérira sans doute jamais et que c'est ce qui faisait ma force et c'était le combat de toute une vie, si un jour je venais à mourir cela sera pour mes convictions et en essayant d'apporter une vraie justice, c'est pour cela que j'étais déterminé face à ce monstre de puissance et d'intelligence.
Après ma conversation au Den Den mushi il me dit : " Ainsi donc tu travail pour mon fils, j'espère qu'il se porte bien, j'avais pensé qu'il viendrait à Marinford, je m'étais donc inquiété de ne pas l'avoir vu. J'espère qu'il n'a pas eu de problème, enfin je pense que tu ne me répondra pas et qu'il faudra que je lui demande moi même. De toute façon tu n'as pas l'air de vouloir m'écouter … mais pense tu vraiment que se soit une bonne chose de m'attaquer ? "
Sa dernière phrase me laissa de glace, il me lança un regard effrayant qui me fit presque lâcher mon bâton, *gloups* après avoir avalé ma salive je lui répondit : "Écoutez-moi "Héros de la marine" je ne connais pas votre vie, ni votre vécu et je ne me permettrais jamais de juger quelqu'un que je connais pas, mais vous avez l'air de beaucoup l'ouvrir pour un vieux pensant me connaitre alors que vous avez tout faux, je suis de ceux qui ont un but ultime dans la vie, un but pour lequel je suis prêt à mourir, et ce n'est pas un soi-disant rêve de gamin que j'ai, non, loin de là, si le but que je poursuis n'était qu'une chimère, pensez-vous que votre propre fils m'aurait engagé et surtout m'envoyer ici à votre rencontre, si je suis ici en face de vous, c'est que mes idées sont en parfait concordance avec votre fils et si je suis en face de vous prêt à combattre c'est que votre fils a aussi une idée derrière la tête car il connait mon vécu et sais très bien que peut importe que ça soit vous ou Akainu ou Aokiji ou même Sengoku, je n'allais jamais reculé et me battre jusqu'au bout, peut-être que mon entêtement provoquera ma mort mais comme je l'ai sus-dit, je suis prêt à mourir pour mes convictions et ça votre le fils le sait !"
Mon propre discours m'avait donné du courage, Dragon m'avait envoyé ici pour une raison bien précise, et savait que j'allais attaquer, alors j'allais suivre son plan et faire ce qu'il voulait que je fasse peu importe les conséquences... J'espère que vous savez ce que vous faites chef...
"EN GARDE GAAAAARP, JE SUIS AEON KILIK, ARMÉE RÉVOLUTIONNAIRE SOUS LES ORDRES DE MONKEY D. DRAGON, JE JURE SUR MON HONNEUR QUE JE ME BATTRAI DE TOUTES MES FORCES!!! YAAAA, MON ATTAQUE LA PLUS TERRIBLE, HEAVEN DAAAAAANCE!!!!!"
Dernière édition par Aeon Kilik le Sam 29 Sep - 12:22, édité 1 fois
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Sam 29 Sep - 2:00
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(Au faite dans tes techniques je n'ai pas vu la Heaven Gate, mais Heaven Dance, c'est la même chose ?)
La jeunesse est difficile à comprendre de nos jours. C'est ce que pensait Garp qui avait du mal à la suivre et regrettait l'époque de Gol D. Roger. C'était son ennemi, leur relation était pourtant ambiguë, c'était pour cela que le seigneur des pirates c'était permis de demander à Garp de sauver son fils. Maintenant il n'arrivait plus à suivre la nouvelle génération, que se soit son petit fils adoptif ou biologique. Son fils c'était pareil, pourtant fut un temps où c'était un brave garçon, distingué bien coiffé avec des vêtements de noble, alors que maintenant il était l'être le plus recherché du monde et qu'il avait envoyé ce jeune garçon à lui. Le vieux loup de mer ne comprenait pas ce qui se passait par la tête de son fils, voulait il lui faire comprendre que tous les marines n'étaient pas des êtres corrompu ? De tous les marines Garp était sûrement celui qui œuvrait le plus pour la justice, alors pourquoi lui envoyer un révolutionnaire aussi agressif ? Détruire la marine ne servait à rien, c'était pour ça que Dragon ne les attaquait pas.
La légende avait aussi ses blessures, et ce qu'il détestait c'était de s'attaquer à des enfants. Garp ne pouvait qu'être triste de la situation dans laquelle il se trouvait. Ses poings de fer dans un gant d'amour allait servirent pour ce jeune garçon comme ils avaient servis pour ses petits fils qu'il aimait tant. Dans un sens la détermination qu'il avait lui rappeler ces derniers justement, ce qui le rendait encore plus triste quand il le voyait et l'écouter parler. C'était avec attention que le loup de mer l'écoutait, comprenant bien que le garçon ne démordrait pas dans ses idéaux, Garp pensait toujours qu'il était trop jeune et manquait d'expérience et de vécu pour avoir un jugement avec du recule, mais c'était de son age. À contre coeur, le grand père se vit obligé de se battre, le jeune garçon du nom de Kilik l'attaquant avec son bâton, et après un soupire il prit à son tour la parole avant de se préparer à combattre.
" Moi aussi j'ai un but et je ne laisserais personne m'empêcher de l'accomplir. Mais je sais une chose mon fils ne voudrait pas que tu meurs aussi bêtement ! "
Sans bouger, Garp regarda Kilik lui sauter dessus pour lui donner un coup de bâton au visage, comme il était d'une taille imposante, le loup de mer avait un avantage, sans compter sur sa carrure plus que bien bâtit avec toutes les années de combats et de poursuite contre le seigneur des pirates. Il se prit le coup de plein fouet sans sourciller, la peine qu'il ressentait en voyant ce garçon lui faisait oublier la douleur du coup. Lorsque le révolutionnaire après son coup de bâton passa derrière lui pour ensuite se retrouver au dessus de sa tête, Garp se décida à bouger, attrapant fermement son bâton pour lui confisquer, avant de l'attraper directement et le remettre au sol.
" Petit, tu crois vraiment que tout ceci est utile ? Qu'est ce que ça va t'apporter ? "
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Dim 7 Oct - 18:42
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-- Espoir --
Le Heaven Dance, la danse du paradis, une technique nommée ainsi après que mon maître l'ai exécuté sur un voleur de Water Seven et a prié pour que son âme aille au paradis, j'ai moi même donner le nom de cette technique, car elle pouvait tuer un adversaire d'un seul coup si l'attaque était bien porté mais là, il s'agissait d'une personne ayant affronté le Seigneur des pirates en personne, alors évidemment j'avais espéré que cette attaque lui ferais au moins quelques égratignure mais ce fut totalement l'opposé qui se produisit. Après le succès bizarre de mon premier coup, j'ai failli enchainer le mouvement final lorsque Garp se saisit de mon bâton et m'envoya au sol en compagnie des cailloux. Je suis resté un moment au sol, choqué de la facilité avec laquelle j'avais été mis à terre. A ce moment précis il me demande ce que cela m’apporterais de m'en prendre à lui, décidément, l'ancienne génération ne comprenait pas le sens du mot vengeance et amitié. Mon histoire, mon vécu me poussait à faire cela même si la mort se trouvait au bout, je devais réagir et rapidement pour montrer à Garp que la jeunesse d'aujourd'hui avait des tripes !
Ma vie me revenait en flashback dans ma tête en ce court laps de temps j'avais eu le temps de dresser un petit bilan, j'attendais que ma goutte de sueur tombe à terre pour me relever et contre attaquer, le combat n'était pas encore fini. Je me suis relevé en faisant un saut périlleux arrière dans l'espoir de faire croire à Garp que j'avais pour but de reprendre mon bâton, ce qu'il a cru avec naïveté mais c'était en fait pour récupérer un bâton en fer qui faisait parti des ruines de la ville, le bâton en main Garp fut surpris, c'est vrai même si mon bâton était obsolète je venais de rusé face un grand, "un maitre dans l'art du bâton maitrise tout type de bâton ne serait-ce qu'un bout de bois frêle", proverbe de mon maître qui m'avait brillamment servi aujourd'hui, par instinct je repérais tout type de bâton susceptible de me servir d'arme dans chaque endroit ou j'allais. Bâton en mains je mis à user de ma pratique mais il était très difficile de le toucher.
Toujours avec hargne je ne renonçais pas à mon projet, toute peur s'était envolée et cela se remarquait car mes coups était moins imprécis et plus portés avec convictions. Mon but ultime était bien sur de récupérer mon précieux Kali-Yuga, je devais pour cela faire en sorte que Garp se défende et contre attaque avec ses poings afin de lâcher mon bâton, plan que je mis en place immédiatement et la seule attaque qui était susceptible de le faire lâcher mon bâton était le Phoenix Pounce car l'attaque consistait en ce que l'adversaire soit dos à moi et que je concentre ma force sur le bâton et l'envoi dans sa colonne vertébrale, mon but n'était pas de le toucher car je savais que mon attaque n'avait aucune chance d'aboutir mais dans la position dans laquelle il était il devait lâcher tout objet le gênant et contrer avec ses poings, ainsi je pouvais en profiter pour prendre mon bâton. Tout se passa comme prévu jusqu’à ce que j'étais sur le point de récupérer mon bien, ma vue devint rouge, je ne mis pas longtemps à comprendre que Garp avait trouvé le moyen de m'en collé une, je gisait à terre lorsque...
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Lun 8 Oct - 10:05
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Sa première mission était déjà terminée. Urahara voguait tranquillement sur la mer de Grand Line. Il avait eu l’occasion de pouvoir contacter une révolutionnaire et il avait déjà la sensation –plus que joyeuse- de déjà faire partie intégrante de l’organisation internationale. On lui avait confié un escargophone. Gazelle en avait un blanc mais il semblerait qu’elle était toujours en contact avec des capos et de ce fait, le brouillage des deux côtés de l’appareil était nécessaire. La révolution portait peu de considérations aux nouvelles recrues, logique incontestable pour éviter tout espion.
D’ailleurs notre ami se demandait s’ils n’avaient pas planqué un quelconque escaméra pour l’avoir à l’œil. Il savait déjà que ses prochaines missions seraient soit totalement dépourvues de sens soit hautement dangereuses ; c’était le prix à payer pour être apprécié par le groupe et fatalement bénéficier de plus de confiance. Urahara était allongé dans sa barque, se torturant l’esprit mais profitant de l’agréable soleil qui parfois entre deux tempêtes montrait le bout de son nez. Lorsqu’il se releva, une île se trouvait plantée sur l’horizon, il ne la connaissait pas. Tout à coup, son escargophone se fit entendre. Il décrocha.
- Allo allo, ici baseR ! Kurogane, est-ce bien vous ? Nous appellons pour vous confier votre prochaine mission. Vous êtes en ce moment assez près d’une île, vous confirmez ? Il vous est demandé de porter secours à un autre membre, il ne faut pas qu’il soit capturé ! Vous entendez ? Il est aux prises avec un marine, mais il ne saura pas le battre, vous devez agir le plus vite possible ! Fin de communication.
Il raccrocha le combiné. Notre ami n’avait même pas eu le temps d’ouvrir la bouche, de toute manière, si l’organisation savait le situer, elle devait aussi savoir que ce serait lui qui répondrait à l’escargophone. Urahara raccrocha aussi le combiné et se mit à réfléchir ; Comment pouvaient-ils savoir que leurs membres seraient en difficultés face à un marine ? Avaient-ils réussis à infiltrer la marine pour pouvoir récolter ce genre d’infos ? Ou bien était-ce un autre nouveau qu’ils avaient envoyé dans une mission dangereuses ? La question la plus importante serait de savoir contre qui ce membre était en train de se battre, était-ce un très haut gradé impossible à vaincre ou un marine moins gradé mais qu’ils pouvaient vaincre à deux contre un ? Trop de questions restaient en suspend dans sa tête et le temps jouait contre lui.
Etrangement rapidement, il accosta sur l’île. La végétation y était dense mais on parvenait à entendre des cris, du plus rapidement et silencieusement qu’il pu, Urahara se faufila entre les arbres et les arbustes, à l’affut du moindre mouvement d’un combat qui promettait d’être dur. Bientôt, il commença à voir le soleil baigner un lieu en face de lui, c’était une clairière où un type armé d’un baton imposant larguait des coups à la face d’un marine. Ce dernier n’avait absolument pas l’air de souffrir de quelque blessure que se soit, il était très imposant, plus grand que la moyenne des hommes, vers les 2 mètres 50. Un uniforme impeccable, son visage venait d’être frappé de plein fouet par le bâton. Et soudain Urahara réalisa. Ce n’était pas n’importe quelle base qui se tenait là, à quelques mètres seulement de lui, c’était le héros de la marine, Garp! Il avait même entendu dire que c’était le grand père de Monkey D. Luffy, celui qui n’arrêtait jamais d’apparaitre dans les journaux !
Voilà pourquoi à l’autre bout du fil, il n’avait pas mentionner son nom, il avaient envoyé un révolutionnaire se battre contre le vice-amiral Garp! Ce type, même avec toute sa détermination et sa colère ne saurait pas en venir à bout, même à deux cela relevait de l’impossible. Il fallait agir vite… Le combat allait prendre fin, Garp venait d’attraper le bâton comme si de rien n’était et il balança l’homme qui le défiait quelques mètres devant lui, à quelques pas de la planque d’Urahara. Il semblait mal en point. Il avait l’air fatigué et les coups portés par le marine étaient toujours aussi dévastateur. Il fallait agir vite, agir vite, vite !! Un écureuil lui passa sur le pied et Urahara l’attrapa par réflexe, la bestiole se débattait et émettait de petit cri, il avait sa queue entre les mains, dans un mouvement rapide il lança l’animal droit sur le vice-amiral, espérant qu’il ferait diversion assez longtemps pour leurs permettre de rentrer à nouveau dans la forêt, il ne fallait plus que prier pour le semer ensuite. Il accourut vers l’homme et son bâton.
- Allez, debout, il faut bouger, TOUT DE SUITE !!
Notre ami souleva du sol l’autre révolutionnaire, il reprit son équilibre, il était encore désorienté, il prit sa manche et essaya de l’entrainer à l’abri du feuillage. Malheureusement, l’homme ne l’entendait pas de cette oreille et le vieux gradé en face avait déjà attrapé le pauvre mammifère.
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Sam 20 Oct - 0:13
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Plus le temps passe et plus on devient quelqu'un de sage et de mûre, c'était ce que Garp avait pensé, mais là il y avait tellement de changement dans sa vie qui remettait tout en question que bien qu'il ait vu un nombre incalculable de chose, il ne savait pas trop où il en était. Il avait demandé à quitter la marine pour ne plus à devoir choisir entre travail et famille, malheureusement à cause de sa réputation il ne pouvait pas. Toute sa carrière lui revenait en pleine face, ne le récompensant alors pas pour tous ses efforts comme il ne voulait. Bien sûr le vieux loup de mer comprenait pourquoi cette décision avait été prise mais ça lui faisait mal de toujours être ennemie de ses petits fils. Le pire était surtout l'idée que Sengoku ne serait plus son supérieur, depuis Marinford de toute façon il avait quand même un arrière goût quand il pensait à lui, car il savait qu'il capturerait et ferait tuer ses petits fils, bien que pour lui le pire soit Akainu. Savoir que cet homme deviendra peut être son supérieur le rendait malade, il le détestait, sa cruauté était impardonnable, mais c'est ce qui plaisait au conseil des cinq étoiles malheureusement. Dire que ce chien rouge avait failli tuer ses petits fils sous ses yeux, jamais il ne pourrait obéir à un tel sadique, heureusement que sa carrière et ses longues années d'expérience faisait que Akainu le respecter et que personne ne chercherait alors à le forcer à quoique se soit s'il faisait sa tête de mule.
Là il venait de trouver aussi tête de mule que lui en ce petit révolutionnaire qui n'écoutait pas beaucoup les ordres. Pendant un instant, Garp imaginait la tête des autres révolutionnaires qui devaient avoir la même que celle de Sengoku lorsqu'il voyait que Garp n'en faisait que ça tête. Le loup de mer en sourit rien que d'y repenser, le bon vieux temps lui manquait parfois. Sans oublier le combat, le marine regarda le gamin en face de lui, il reprenait du poile de la bête et semblait vouloir récupérer son bâton, mais n'en fit rien et en prit un autre plus négligé. Étonné Garp ne baissa pas sa garde pour autant, surtout que le gosse avait moins de faille dans ses coups. Il essayait encore de l'atteindre, si le petit montait le niveau de ses attaques alors lui aussi, il n'était pas du genre à y aller de main morte le vieux. Rapidement il l'envoya valser au sol lourdement, sonnant un peu Kilik, a attendit sagement qu'il revienne à la charge.
C'est alors que Garp reçut un écureuil sur le visage qui après l'avoir griffé par peur s'enfuit aussitôt. En ré-ouvrant les yeux l'ancien vice-amiral remarqua qu'un nouveau venu était arrivé pour aider le gamin. Tête de mule ou pas, Garp n'en restait pas moins un marine dans l'âme, et s'il n'en voulait pas à la vie du jeune garçon ni même le capturer, pour son camarade par contre ce n'était pas vraiment la même chose. Cependant il avait bon cœur quand même, si le nouveau venu n'arrivait à résonner le petit, alors lui allait le faire, et s'il devait capturer le nouveau venu pour lui faire comprendre sa bêtise, il le ferait.
" Petit tu ferais mieux d'écouter son ami tant vous le pouvez encore partir. Ça serait dommage que votre voyage se termine maintenant pour vous deux."
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Sam 20 Oct - 18:39
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-- Abandon ? --
...Lorsque du chahutage se faisait entendre, Garp était pris à parti par un écureuil o_o mais ça n'était qu'un moyen de diversion c'est alors qu'une personne a surgi derrière moi "- Allez, debout, il faut bouger, TOUT DE SUITE !!" m'a t-il dit, il me souleva mais j'étais encore sonné, il faut dire que Garp n'était pas allé de main morte, le nouveau venu à essayé de me mettre à l'abri en me tirant par la manche mais mon corps a refusé de bouger, ça n'était pas de la paralysie liée à la peur, non, loin de là, c'était de la détermination, d'ailleurs ma vision était trouble du aux larmes qui coulaient à flots car c'est comme si je faisais face à mon passé terrible que j'ai voulu fuir mais en vain. Le Nouveau venu continuait à me tirer sans que je ne bouge, c'est alors que je pris la parole :" Écoute, je ne sais pas qui tu es ni pourquoi tu cherches à me sauver, mais sache une chose, je sais pertinemment que je n'ai aucune chance et que l'idéal serait de fuir, mais même si mon âme me hurle de m'enfuir, mon corps refuse de bouger, je sais aussi que je m'entête mais c'est toute mon histoire qui est en face de moi, que deviendrais-je si je venais à fuir ou à mourir ? L'idée de ma justice fuirai avec moi et je ne pourrai plus me regarder en face et encore une fois je le répète, en effet il serait mieux de fuir et je n'ai rien contre Garp, mais plutôt contre son uniforme, certes je suis jeune et j'ai encore beaucoup à apprendre, mais pour la première fois j'ai l'impression d'être à un tournant de ma vie, comprends-moi, comprends mon corps...
Après mon discours je chialais comme un petit bébé, je ramassais mon bâton que Garp avait lâche lors de l'attaque de l’écureuil, je le tenais si fort que j'avais l'impression que ma main allait être gravé dessus, mon visage était mélangé de sang et de larmes, je savais que Garp ne voulait rien me faire, d'ailleurs il me demandait d’écouter le nouveau personnage, mais même mon instinct de survie ne pouvait rien y faire, si rien ne se passait, j'allais tout droit à la mort, au fond de moi j’espérais que Dragon allait arriver et me sauver et me ramener avec lui au QG de Baltigo. Je trainais la patte tout en me dirigeant vers Garp même si je n'avais plus de force, mais avant que je n'arrive à lui, tout s'était obscurcit et je sentais mon corps qui me lâchait, et une douleur vive se faisait ressentir sur ma nuque, pas de doute possible, on m'avait attaqué pour me mettre KO, je tombait à terre en fixant Garp droit dans les yeux jusqu’à ce que mes yeux se sont fermés, j'étais à présent inconscient, et gisant près de Garp, qui j'espère aura admiré ma détermination face à la mort et respectera le choix que j'ai fait...
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Lun 29 Oct - 20:25
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Il avait beau faire aussi beau que le destin l’aurait voulu, pour Urahara, tout semblait devenir lourd et stressant. L’ambiance en face du marine était exécrable et il ne devait même plus se tenir debout face à lui, techniquement ils devraient s’être déjà encourut. Le vice-amiral avait une petite griffure lui parcourant le visage, le sang pointait à son visage mais il restait néanmoins droit comme un i et immobile, l’écureuil n’avait visiblement pas servit à grand-chose. Son compagnon révolutionnaire semblait bien déterminé à mourir ici, à moitié en sang et pleurant pour le but qu’il s’était fixé auparavant fixé ; mettre à mal le vieux marine. Bientôt, la sueur perlait au front de notre ami. Comment allait-il se sortir de là ? Que pouvait-il faire ? L’assommer ? Se battre ? Le laisser là ?
Après tout, le vice-amiral avait proféré une importante menace : soit ils s’en allaient vite soit ils resteraient sous sa coupe. Il n’était décidément pas l’heure de rester statique. Mais il fallait réfléchir à un plan pas trop nul pour pouvoir arriver à distancer la légende en face de lui… Bizarrement plus aucun animal n’était proche d’eux, comme s’ils pouvaient aussi déceler que le moment était grave. Soudainement, après un monologue bien huilé, le révolutionnaire au bâton se décida à bouger, il mit péniblement un pied devant l’autre, décider à faire face à son ennemi ; ou alors était-ce à cause d’un quelconque destin qu’il s’était forgé ? Après le stress, l’adrénaline envahissait à son tour les veines de notre ami chapeauté. En un instant il fit son choix, sortant sa canne de sa ceinture, il l’abattit plus fort qu’il ne voulut sur la nuque de l’homme qu’il devait sauver.
Par après, il s’écroula lourdement au sol, fixant toujours obstinément le vieil homme avant de définitivement sombrer. Il avait déjà perdu la raison, mieux valait lui priver momentanément de sa conscience tant pis si la « piqure » faisait mal. Urahara souffla, en un murmure.
- Désolé mon ami, puisses-tu me pardonner à ton réveil…
Il déplaça son visage vers le haut, croisant le regard du vice-amiral, il n’aurait pu déceler l’émotion sur son visage, trop occupé à toujours réfléchir à un plan B. Par la suite, il chercha quelque chose, n’importe quoi, qui aurait pu lui servir à s’échapper, mais rien ne se trouvait près de lui à part de l’herbe et de la terre. Tant pis, il fallait obstruer la vision inquisitrice du vieil homme et ce même avec un cou aussi bas que de la poussière et de la terre. Il dégaina du mus rapidement qu’il pût son épée, la plantant ensuite dans le sol et expulsa le plus de débris qu’il pouvait en direction du visage impassible du marine. Il se détourna bien vite, prenant son bras droit l’autre révolutionnaire, espérant ne pas se faire écrasé au sol par le poing massif de Monkey D. Garp.
Le visage d’Urahara était empli de peur, mais il continua, l’adrénaline lui fournissant l’énergie nécessaire pour couper en deux horizontalement le premier arbre qu’il avait atteint tout en n’ayant plus la sensation du poids de son ami. Jetant un œil derrière lui pendant que le végétal s’effondrait, il apercevait toujours la silhouette imposante de « La légende ». Allait-il les poursuivre ? Il n’en savait rien et n’allait pas attendre d’être coursé. Après tout, ce marne avait poursuivit le Seigneur des Pirates pendant des années, il ne souffrirait pas d’un stratagème aussi simpliste. Notre ami reposa son regard devant lui, il devait encore trancher beaucoup d’arbres puis ensuite bifurquer pour brouiller les pistes, enfin… Théoriquement.
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Lun 5 Nov - 23:37
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Garp avait décidément bien du mal à suivre la logique de la jeunesse actuelle, déjà que ses deux petits fils n'étaient pas très futé et avaient une fâcheuse tendance à ne pas réfléchir, mais le loup de mer se rendait bien compte qu'il n'y avait pas qu'eux. Heureusement que son fils lui avait de la suite dans les idées et qu'il ne faisait jamais les choses à moitié. À croire qu'avec Dragon la volonté du D pouvait aller voir ailleurs et que lui seul décidait de tout, lui imposant presque sa propre volonté. Pour sûr Garp pouvait être fier de son fils, même si c'était l'homme le plus recherché du monde. Enfin pour le moment le grand père avait du mal à voir ce qu'il devait faire pour ce jeune homme en face de lui, il commençait presque à vouloir soupirer en se grattant la tête de n'arriver à rien avec quelqu'un d'aussi buté. C'était comme demander à Luffy de renoncé à son rêve de piraterie, aucun résultat possible. Pourtant si se gamin restait comme ça, non seulement il allait finir derrière des barreaux mais l'armée révolutionnaire risquait d'en pâtir aussi.
Le nouveau venu n'avait pas l'air de réussir à faire changer d'avis le gamin, celui-ci était vraiment buté dans son idée, et préféré mourir inutilement que s'enfuir. Là Garp soupira, il comprenait l'envie de détermination, après tout il lui en avait fallu pour poursuivre Roger à travers le monde, c'est que ce gaillard il était pas facile à suivre. Cela lui faisait de la peine de voir les larmes du garçon, sans le savoir l'ancien vice-amiral espérait lui aussi que Dragon arrive sur les lieux, en expliquant ce qu'il voulait lui apprendre, car le grand père savait que pour faire comprendre les choses il n'était pas très doué, Luffy et Ace avaient apprit la vie grâce aux poings de l'amour dans un gant de fer, c'était une preuve. Il ne pouvait se résoudre à tuer cet enfant, il ne voulait de toute façon plus se battre c'était pour ça qu'il ne se considérait plus comme vice-amiral. En lançant un ultimatum aux deux révolutionnaires, Garp espérait bien que le dernier venu réagirait pour les deux, Kilik ayant déjà choisit de mourir ici.
Par chance celui-ci entendit ses prières et assomma le gamin, à être aussi entêté, il aurait fini par être obligé de le capturer et le mettre en prison. Le dernier lui envoya alors de terre et de la poussière au visage en plantant son épée dans le sol, Garp ferma les yeux impassible, sachant pertinemment que c'était pour mieux s'enfuir. Il avait même couper des arbres pour lui barrer la route, ça le faisait sourire, ça lui rappelait sa jeunesse. Les poursuivre ne serviraient à rien, il n'avait pas envie de les capturer, bien sûr on lui ferait des reproches pour ça, c'était deux révolutionnaires après tout, mais cette fois c'était son propre fils qui avait envoyer un gamin à sa rencontre et ce n'était pas pour le mettre derrière des barreaux. Prenant son paquet de gâteau dans les mains, le papy se dirigea là où normalement les deux devraient se rendre pour prendre la mer, c'est qu'il voulait être sûr qu'il s'en sorte et il avait trop de gâteau pour lui tout seul.
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Mer 21 Nov - 22:51
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-- L'aube d'un jour nouveau --
"Tout est noir, tout est noir... Où suis-je ?" J'étais debout, au milieu des ténèbres, en ne me souvenant plus de ce qu'il s'était passé, ah oui, on m'a attaqué par derrière et assommé, j'étais probablement en train de rêver, en pleine introspection, me posant des questions sur ce qu'il venait de se passé, pourquoi étais-je si obstiné au fond, était-ce vraiment contre la Marine que j'étais énervé ou bien contre moi-même car je n'ai pas pu sauver mon ami et qu'au fond c'était peut-être de ma faute qu'il n'était plus de ce monde. Toutefois, j'avais la nette sensation que cette rencontre avec Garp n'était pas anodine, comme si quelque chose de bénéfique allait en découler par la suite, j'oubliais presque c'était mon Boss Monkey D. Dragon qui m'avait envoyé ici, peut-être avait-il perçu mon but comme étant une gangrène pour les révolutionnaires et que la meilleur personne qui pouvait me soigner était Monkey D. Garp. Alors que j'étais toujours dans le noir totale, une lumière éclaira l'endroit ou je me trouvais et il se trouve que j'étais dans la salle de combat du dojo de ma cité de Water Seven, me demandant ce que je foutais ici, une voix m'interpella : " Bonjour, Kilik" je pouvais reconnaitre cette voix entre mille, c'était feu mon ami, Maxi qui se tenait devant moi, je devais sans doute encore divaguer " Je suis très content de pouvoir enfin te parler après tout ce temps, je ne pouvais le faire avant car tu avais comme qui dirais un blocage qui m’empêchait de communiquer avec toi et te dire mes dernières paroles, ce qu'il t'es arrivé aujourd'hui est une bénédiction, car même si tu ne l'as pas réalisé cette rencontre t'as permis d'ouvrir les yeux, je veux tout de suite te dire que tu ne dois en aucun cas te sentir responsable pour ma mort et que je ne demande pas vengeance" - "Maxi, ils t'ont tué... Où plutôt je n'ai rien pu faire pour éviter ta mort, je me sens en partie responsable pour ce qui t'est arrivé, si seulement j'étais plus fort... - "Le Kilik que je connais n'est pas du genre a se lamenter, surtout pendant ce temps considérable, le Kilik que je connais est quelqu'un de très observateur qui sait faire la part des choses et qui prend toujours la bonne décision, ce que t'as dis Garp aujourd'hui est vrai, tu dois absolument prendre conscience que tu n'es plus un enfant et par conséquent tu te dois de me laisser derrière et d'avancer par toi même, c'est le message qu'a voulu te transmettre Garp, ton passé ne fera que te freiner, tu m'entends mon ami ?"
Les paroles de Maxi m'ont fait un grand effet, le passé appartient au passé, ce qui est fait est fait et m'en prendre a des personne ou à une institution quelconque pour venger mon ami ne le ramènera pas. Je devais avancer et ne pas reculer, certes j'allais sans doute à nouveau tomber dans le futur, mais il faudra que je me relève et que je continue à aller de l'avant, j'esquissais un sourire qui fit comprendre à Maxi que j'avais reçu le message cinq sur cinq : "J'aime ce sourire, c'est ton sourire de gagnant, à présent prend ton bâton et faisons nous un petit combat d'adieu". En combattant Maxi j'avais l'impression que toute ma peine disparaissais, je retrouvai la joie de mon art martial et la joie de pouvoir à nouveau être heureux. L'heure de la séparation était maintenant venu : "Au revoir Kilik, mon ami, n'oublie pas, je serais toujours à tes cotés - "Je sais mon ami mais quand tu le comme ça ça fait un peu Yaoi non hahaha - Hahaha, allez ;)" Il disparut alors dans une poussière d'étoiles et je marchais alors fièrement vers la sortie du dojo, lorsque j’ouvris la porte je sentais que je me réveillais, lorsque j’ouvris les yeux je vis un un homme qui avait sa tête a quelques centimètres de moi, c'était celui qui était venu a ma rescousse, je fis un bond en arrière " WOW, doucement, je suis bien vivant ne t'inquiètes pas, pas la peine de t'approcher comme ça" dis-je avec un grand sourire, même lui l'avait remarqué, mon comportement avait changé et je dégageais de bonnes ondes, alors que je riais aux éclats du a ce quiproquo, je vis au loin une silhouette, c'était Garp qui nous regardait attentivement avec son paquet de gâteau, je le regardais fixement et puis j'esquissais un sourire pour lui faire comprendre que j'avais compris son message et j'ai ensuite levé mon pouce pour lui montrer ma reconnaissance. J'espère que nous nous rencontrerons de nouveau... "Bon cher inconnu, je pense que ça serait une bonne idée qu'on parte d'ici et encore merci d'être intervenu :D" Nous avons alors levé le voile vers un l'aube d'un jour nouveau.
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... Ven 23 Nov - 16:41
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Urahara se trouvait empêtré dans une situation plus que critique. L'adversaire qui lui était imposé il qu'il essayait de semer n'était vraiment pas une personne normale. Le Vice-Amiral Garp... D'après les rumeurs qu'il avait entendu dans certaines villes ce vieil homme en apparence était un monstre! Quelques personnes lui avait parlé d'un évènement, lors d'un transfert de prisonnier, le Vice-Amiral c'était pris un coup de hache sans sourciller. Comme si l'on tapotait doucement pour le réveiller. D'autres racontent qu'il pouvait lancer mille boulets sans grande peine alors qu'ils étaient déjà bien assez lourds à porter... Autant d'histoires, réelles ou inventées, qui faisaient froid dans le froid d'Urahara en ce moment précis et il ne voulait absolument pas vérifier ça aujourd'hui! Encore maintenant, alors qu'il courait à perdre haleine, il n'avait absolument pas l'impression de distancer le personnage. Un peu comme si l'on ne pouvait échapper à Freddy Cruger lorsqu'on cauchemardait. Il avait beau avoir coupé quelques arbres derrière lui, puis bifurqué pour brouiller les pistes le poids de son compagnon se faisait néanmoins de plus en plus ressentir. Encore quelques secondes et il serait revenu à son rafiot, tant pis, le sort en était jeté.
Arrivé finalement près de son bateau, il y avait couché son ami, gardant un espace pour y mettre ses propre pied pour pouvoir ramer, alors qu'il s'apprêtait à embarquer il ressentit tout à coup derrière lui la présence écrasante du vieil homme. Croyant à la fin de son existence il resta quelques instants figé sur place totalement paralysé. Les yeux clos, l'effroi transperçant son esprit il mit un peu de temps à réagir; Garp n'avait pas bougé d'où il se trouvait sur la berge, étrange... Et à la manière des vieux films d'horreur, Urahara pivota lentement, très leeeeeentement sa tête. Il entrouvrit les yeux, à la manière d'un gosse qui attendrait sa punition mais rien n'arriva. Il ouvrit ensuite ses yeux normalement et effectivement, le vieil homme se tenait debout à quelques mètres de lui, mangeant tranquillement ses gâteaux. Pourquoi n'attaquait-il pas?! Pourquoi restait-il passif?! Des révolutionnaires novices se baladaient sous son nez, dont un dans les vapes et il restait là, stoïque... What the fuck?! Préférant ne rien dire, il se contenta de se retourner, toujours à la manière d'un vieux film d'horreur où l'on s'attends à se faire tuer dès qu'on pivote le visage et avec des mouvements à nouveau très lent il embarqua finalement dans son rafiot. Il hissa la voile comme s'il manipulait du cristal, prenant en mains ses rames et fixant toujours du coin des yeux l'ancêtre qui ne bougeait que pour prendre un nouveau biscuit.
Puis un bruit attira son attention, derrière lui son ami se tortillait comme un ver en grommelant ou en énonçant des phrases incompréhensibles dans son sommeil. L'avait-il frappé trop fort? Il s'approcha doucement de son visage, lui ayant préalablement pris le pouls, pour être sur. Quand tout à coup il se réveilla! D'abord fortement étonné de pouvoir voir le visage d'Urahara de si près il entreprit un mouvement de recul mais rigola bien vite face à cette situation assez embarrassante. Notre ami chapeauté aurait certainement rit lui aussi s'il ne savait pas qu'un vice-amiral le scrutait de la rive. Il allait faire signe à son comparse de ne pas se sentir tout de suite en sécurité mais celui-ci le devança de vitesse et éleva une main de sympathie à l'homme qui était pourtant son adversaire. De nouveau totalement paumé Urahara ne comprit pas pourquoi il agissait de la sorte alors au lieu de s'échiner à comprendre il fixa la grande silhouette sur la berge et commença à ramer. S'éloignant plus encore d'une menace plus que réelle. Il écouta son ami, plutôt content, qui balança, des remerciements à Garp puis lui et qui lui annonça qu'ils pouvaient partir vers l'aube d'un jour nouveau. Sa seule réaction, son seul réflexe, fut celui-ci.
- Parce qu'en plus vous êtes potes maintenant?! Je t'ai pas assommé trop fort t'es sur?
S'est sur cette interrogation qu'ils firent route vers d'autres chemins. Pourvu que son compagnon se ressaisisse... En attendant, il était pratiquement sur que ce qu'il avait vu aujourd'hui était soit une sorte de baptême de mauvais goût dans les rangs révolutionnaires, soit un rêve.
Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ...