Quand on connaissait sa réputation on ne pouvait que le craindre, après tout Garp n'était pas une légende de la marine pour rien, et il avait beau être vieux au point d'être grand père, il n'a rien perdu à sa force d'antan qui lui avait permit de pourchasser le légendaire seigneur des pirates sur toutes les mers. Cela l'amusait par ailleurs beaucoup de savoir que sa simple présence pouvait faire trembler beaucoup de pirate, cela lui avait même permit d'en capturer facilement, qui le voyant étaient tout de suite décourager et préférer fuir que le combattre de front. C'était sage de leur part, Garp le reconnaissait, car même en l'attaquant tous ensemble, ils n'auraient aucune chance or mit se voit estropier par des blessures qu'ils auraient pu éviter.
C'est pour cela que le vieux loup de mer suivait nonchalamment, mais sans être lent, le révolutionnaire qui courraient à toute vitesse pour le fuir et tenter de sauver sa vie et celle de son camarade, ce qui était tout à son honneur. La légende de la marine aimait les personnes qui savaient faire preuve de solidarité et prêt à tout pour sauver leur compagnon, pour lui c'était une noble qualité, il ne pouvait qu'en sourire. Avec sa grande taille, ses pas étaient suffisamment espacer avec son allure relativement vive pour ne pas perdre de vue les deux révolutionnaires, et une fois sur le rivage il s'arrêta pour les regarder de loin, s'assurant presque que rien ne leur arrive. De plus Garp voulait voir si Kilik allait bien et s'il avait grandit, son fils Dragon ne le lui avait pas envoyé pour rien, il serait un père indigne si ce jeune garçon repartait comme il était arrivé.
Ce dernier se réveilla enfin, il pouvait le voir rigoler de loin sans pour autant comprendre pourquoi, même si en voyant la scène il s'en doutait un peu, son ami en revanche n'avait pas l'air d'être en état de s'amuser, restant sérieux en le regardant, ce qui se comprenait. En voyant le pouce en l'air et le sourire de Kilik, le vieux grand père était content, satisfait d'avoir rendu service à un jeune garçon mais également à son propre fils à travers ça. C'était une bonne journée et il les regarda partir au loin dans leur petite embarcation tout en continuant de s'empiffrer de gâteau sans jamais prendre un gramme, gronder Cobby et Hermep était suffisant pour perdre des calories en trop. Puis le vieux loup de mer partit tout heureux de sa journée le sourire aux lèvres avec quelque miette de gâteau sur sa barbe.
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Sujet: Re: Un révolutionnaire ... mon fils ? Non ... 
