(l'écho du démon, ça fait pas un peu trop haki de l'observation ? D'ailleurs il y a une technique que seul Brook possède normalement O.o)

Pourquoi est-ce que les gens aiment tant combattre ? Faire couler le sang leur apportait une quelconque jouissance personnel ? L'idée qu'après, des familles allaient pleurer la mort d'un proche, d'un père, d'un fils, d'un mari … à quoi tout cela pouvait-il bien rimer d'aimer faire souffrir d'autre personne ? C'était quelque chose que je n'arrivais pas à comprendre. Bien sûr j'avais déjà fais des combat, principalement pour survivre, hors de question de rester là à attendre qu'on me tranche la tête bien sagement. Pire j'avais même déjà tué au delà de ma volonté propre, mais c'était tout de même mes mains qui avaient leur sang, c'était moi qui devait porter les chagrins et les pleurs de ses familles.

Enfaite si les pirates n'existaient pas il n'y aurait pas tant de problème, de désolation, chacun vivrait heureux et loin de la crainte d'être un jour pillé et assassiné sans aucune raison. Le monde serait mieux pour sûr, mais c'était une idylle qui était irréalisable, car si la marine venait à réussir à la réaliser, les proches des pirates chercherons alors à se venger à leur tour, comme si cela pouvait combler le vide créer. Mon île, ma vie, tout aurait été différent si les pirates n'existaient pas …

Le bruit des coups de feu et des lames qui s'entre-choc dans des étincelles me sortie de mes songes, la bataille était déjà bien entamé, je ne pu retenir un soupire devant se spectacle. Rien ne pourra de toute façon changer, j'avais été dans un état de souffrance que les familles des marines connaitrons bientôt. J'avais l'impression d'être seule, dans un autre espace temps que le combat qui m'entourait, c'était étrange comme sensation d'isolement. Tous les ennemies qui m'approchaient je les jetais au loin avec mes queues de sang, les attaques les plus puissantes je les évitais de justesses grâce à mon haki. Étant au dernier plan de la bataille, je ne risquai pas grand chose, surtout que Beckman était à côté de moi et qu'il avait surement remarqué mon état.

Il eut un moment de silence, un pacifista était là. Encore un, il avait de l'argent à perdre les marines. Shanks s'avança alors dans la foule, tranchant ceux qui s'approchaient de trop près, si toute fois Beckman ne les avaient pas refroidit avant. Le roux mit -comme prévu- hors service la machine de guerre. Le combat allait bientôt toucher à sa fin, lorsque le roux était là, la marine ne restait jamais bien longtemps, il n'avait pas pour ordre de l'attaquer avec si peu de moyen.

(Oui c'est une erreur qui se refera plus, on manque de staff pour les fiches techniques)

Et voilà, un combat au bout d'un moment se voit forcément terminé par la défaite d'un des deux groupes, même si parfois il y avait aucun vainqueur. Un combat contre un empereur ne pouvait durer bien longtemps, c'était un trop gros morceau, il faudrait au moins un animal pour un tel événement mais il était tous bien trop occupé et puis affronté le roux prématurément serait folie, ils en étaient conscient. Se battre de son côté avait cet avantage indéniable, surtout que je n'aimais pas cela, alors être sûr que cela serait rapidement abrégé me réconfortait d'entré de jeu.

« Nous voilà tranquille pour un moment ! On a bien mérité un petit remontant ! »

Je pris une chope non entamé et surtout laisser à un cruel abandon pour l'en délivrer et leva celle-ci en souriant à Saito avant de la boire d'une traite. Par Davy Jones que cela faisait du bien une petite mousse après avoir suer en affrontant le fer de l'ennemi. Tout le monde se mit à boire oubliant totalement que l'ennemie pourrait revenir à tout moment. Enfin il leur faudrait avoir encore un pacifista, mais contre Shanks ça serait de l'investissement gaspillé bêtement. C'est que ça devait coûter ses petites machines.

D'un coup un hurlement, un cri lointain qui se rapprochait : c'était mon nom. Surprise je laissa mes boissons (car j'en avais mis plusieurs devant moi pour être sûre de boire jusqu'à plus soif) et me redressa tel une mangouste à l’affût pour voir qui pouvait bien m'appeler. La réponse était évidente j'aurai dû m'en douter tout de suite, mes frères. Depuis le temps que j'étais séparer d'eux et avec toute cette agitation, ils avaient dû s'inquiéter. En effet je me fis gronder, avec ma prime si on me voyait trop, je risquerai de donner envie à quelque malheureux en quête de gloire de me chasser.

« Nous allons pas tarder je pense, et vous qu'allez vous faire ? »

Notre équipage avait déjà bien assez de problème avec tous ceux qui voulaient tenter leur chance d'achever une fois pour toute l'équipage du défunt Barbe Blanche, sans parler de la marine qui nous traquait sans relâche maintenant que le capitaine, l'homme le plus fort du monde n'était plus. Marco impressionnait certes, mais beaucoup moins que son père.