Ces derniers temps la Marine était vraiment composés par des être pour le moins étrange, entre un Colonel qui la capture et qui lui propose de faire « ami ami » avec, et une autre Colonel qui propose également une trêve et qui lui dit ouvertement qu'elle était l'objet de son attention … Est ce qu'on leur avait donné quelque chose de spéciale ou c'était la cause d'une épidémie de bienfaisance qui détruisait leur logique de Marine tel un virus hautement contagieux ? Ce qui était sûr c'est qu'il fallait éviter ses gens là le plus vite possible, en moins de vingts quatre heure la pauvre pirate s'était retrouver face à deux Colonels, c'était plus qu'elle n'en pouvait puisqu'elle les avait en horreur. Elle ne savait même plus quoi penser d'eux, à Marinford ils sont tous méchants et odieux, maintenant ils agissent comme de bon vieux camarades lors d'une soirée bien arrosé en l'honneur du dieux Dionysos … Où va le monde ?! Ce bon vieux Garp avait-il quelque chose à voir avec tout ça ou lui aussi étaient-ils dépassé par les événements ? Une chose est sûr, la jeune femme donnerait beaucoup pour voir la tête des supérieures de la marine lorsqu'ils apprendraient que certains gradés fraternisaient avec les pirates, à moins qu'eux aussi ne soit touché par ce mal inconnue. Si c'était le cas elle en profiterait pour mettre sa vengeance à exécution, tuer Sengoku et Akainu peut importe si elle en meurt, car c'était indéniablement eux deux les plus gros cancer de toute l'organisation qu'est la Marine.

Toute cette histoire finissait par lui retourner le cerveau, elle voulait comprendre le véritable sens de leur agissement mais rien, sont dégout pour eux était trop important pour voir le moindre bon sens de leur comportement. Pourtant en y repensant bien, l'impératrice Hancock n'avait absolument pas trouver la trêve de la nuit qu'elles venaient de passé étrange, comme si c'était normal, peut être parce qu'en sa qualité de Shichibukai elle était plus ou moins une alliés de la marine et donc intouchable par eux tant qu'elle ne montrait aucune animosité envers ses derniers. L'impératrice de l'île des femmes … cette nouvelle rencontre avait rassuré Nana sur le fait que Luffy ait de grand et puissant alliés, et visiblement il pouvait avoir plus que confiance en cette femme qui lui vouait un amour sans faille. Le seul problème à leur relation était que aussi loin qu'elle ne s'en souvienne, Luffy ne c'est jamais intéresser à quelconque personne de la gente féminine, se pourrait-il que … non ne gâchons pas le héros. Le faite aussi qu'elle soit pratiquement aussi veille que Franky pouvait peut être également être un défaut à leur relation si toute fois il devait y en avoir une. Mais malgré le faite qu'elle porte une attirance pour Luffy, la considérer comme une alliés était toute fois risquait car Luffy mis de coté, le reste n'a aucune valeur à ses yeux et qu'elle n'a aucun intérêt à aider quelqu'un qui n'est pas l'objet de son affection prononcé. Enfin il y avait peu de chance qu'elle devienne ennemie du Moby Dick … le capitaine étant quand même le frère de Luffy, c'était déjà une bonne chose, ça faisait toujours un ennemie en moins pour l'équipage !

Après avoir passé ce qui lui avait parut des heures à cogiter alors qu'en réalité cela n'avait durée que quelques minutes, la pirate regarda son fauve d'un air perplexe avant de lui tirer les babines sur les côtés comme si c'étaient de vulgaires joues. Trop dépité par sa réaction il ne trouva pas la faire de faire autre chose que lui lancer un regard qui en disait long sur ce qu'il pensait, ce qui la fit étrangement sourire. Se redressant net, elle le regarda et lui sourit en lui caressant le haut de son crâne.

« Allez mon petit Figaro faut qu'on bouge, avant qu'un autre Marine ne nous tombe dessus. »

Se redressant sur ses puissantes pattes, Figaro avait parfaitement comprit et plus exactement il n'attendait que ça de bouger maintenant qu'il s'était remit presque entièrement de ses blessures infligés la veille par l'équipage du colonel Stuffy. Montant sur son dos pour fuir l'île où devait encore se trouver le Colonel Saya, les deux partirent pour l'île la plus proche, son pauvre animal n'était pas remis totalement et ne pouvait voler sur de longue distance. Il ne leur fallut que quelque heures pour rejoindre l'île d'à côté et se reposer tranquillement, à cause de la trêve avec ses deux autres femmes, la jeune fille n'avait même pas pu dormir de toute la nuit, non enfaite elle n'avait même pas pu dormir depuis qu'elle s'était enfuit du navire marine et n'aspirait qu'à une chose faire une bonne sieste tant elle était exténué ! L'animal s'allongeant nonchalamment sur le sol, adossé à un arbre pour pouvoir profiter de son ombre, il se retrouva à servir de coussin douillet pour sa maitresse. Et c'est avec l'ambiance sonore de la faune et flore de l'île que les deux pirates purent partir pour le pays des rêves tant attendu. Tellement elle était épuisé que son esprit n'en profita même pas pour avoir le moindre rêve, s'en était presque dommage, mais elle avait tellement honte de sa capture que penser à Ace la torturait presque.

Le son, ou plutôt les vibrations de son petit Den Den Mushi qui trônait aux creux de sa poitrine, la tira des bras de Morphée dont elle s'était déjà bien ressourcés et tirant un bâillement des plus sonore à ce cher Figaro. Et c'est presque en panique qu'elle le décrocha, ce qui pouvait se comprendre puisque le seul à la contacter avec était le petit Akito qu'elle affectionnait énormément. En une faction de seconde elle eut la capacité d'imaginer tous les scénarios possible et envisageable sur les raisons de son appel.

Les vibrations du petit Den Den Mushi qui faisait remuer la poitrine de la pirate et qui l'avait ainsi tiré de son sommeil avaient également tirer le fauve de sa sieste, ce qui à l'expression sur son visage l'avait fortement déplus. Normal puisque la pauvre bête faisait un magnifique rêve d'une montagne de viande qui lui était réservé comme s'il était un véritable roi, et au moment où il allait enfin pouvoir se repaitre de se royal repas, ses cotes se mirent à vibrer à cause de la position de sa maitresse qui s'était endormis en le serrant comme s'il était son ours en peluche. Du coin de l'œil il ne la lâcha pas du regard, ce demandant qui pouvait bien la contacter puisqu'il n'y connaissait absolument rien en ce genre de technologie, mais voir sa maitresse dans tous ses états lui indiqua que ça ne pouvait être qu'important. C'est qu'il la connaissait bien et qu'il était très perspicace l'animal malgré son égoïste développé.

Inquiète des raisons qui pouvait pousser le petit Akito à l'appeler elle décrocha immédiatement, espérant que rien de grave ne lui soit arrivé. Au son de sa voix elle fut rassuré, mais le faite qu'il veuille la voir tout de suite l'intriguait fortement, mais par chance il se trouvait là où elle se trouvait, enfin si on pouvait dire que c'était une chance … l'île était aussi grande qu'une archipel retrouver quelqu'un pouvait prendre des jours. Direct elle regarda Figaro qui se sentit immédiatement observer et pire encore, il sentait qu'il allait devoir faire quelque chose. Adieux siesté et rêve plein de viande. Le sourire aux lèvres, bien adossé à son compagnon à pattes, elle répondit à Akito, le retrouver avec Figaro ne serrait pas un problème, sauf s'il se déplace de trop.

« J'y suis actuellement, ne bouge pas de là où tu es j'arrive avec Figaro ♥ »

Remettant le bébé Den Den Mushi à sa place, elle se redressa et fixa son fauve avec un grand sourire, et le motiva à se lever, enfin si on pouvait dire motivé car « allez allez on se bouge gros flemmard » ne sont pas forcément les mots les plus motivant au monde. Mais bon comme s'était sa maitresse qui lui demandait il était bien obligé de le faire, il n'avait aucunement envie de se prendre ses foudres, encore moins dès le réveil. Une fois sur ses pattes il était fin près à partir, et sans perdre de temps elle le chevaucha . C'était si agréable de monter sur son dos pelucheux, avec son imposante carrure il était une monture parfaite, et mieux on pouvait y monter à plusieurs, enfin si toute fois il accepter de laisser quelqu'un d'autre monter sur lui. Autant dire que c'était très mais alors très rare. Aux aguets, l'animal se concentra reniflant l'air pour retrouver la piste du petit garçon, en bon animal qu'il était son odorat était fort développer et quand il connaissait l'odeur d'une personne, jamais il ne l'oubliait, sa mémoire était sans faille, une de ses grandes qualités.

Dès qu'il trouva, il se précipita immédiatement, c'était si précipité que la pauvre Nana se retrouva obligé de se coucher en avant en agrippant le pelage de l'animal pour ne pas tomber. C'est à très grande vitesse qu'il parcourut les plaines de l'île, se souciant aucunement des autres animaux sur son passage, les évitant qu'au tout dernier moment, c'est qu'il aurait pu être running back dans une équipe de football américain le petit père. Mais au bout d'un moment, courir et éviter tout ce qui se trouvait sur son passage commencèrent à l'ennuyer et il décida d'y aller par les airs, là il n'aurait rien à éviter et ses pattes se fatigueront beaucoup moins. En plus la pirate aurait une meilleure vue panoramique pour repérer son petit camarade qu'elle devait retrouver. Et cela ne tarda pas à arrivé, au bout de quelque minute elle pu l'apercevoir au loin, proche du rivage, son petit bateau accosté, Figaro accéléra alors un peu pour y arriver plus vite et encore se poser espérant se reposer un peu. Dès qu'elle fut assez proche pour qu'il puisse l'entendre, elle appela le petit Akito en faisant de grand signe de la main avec un large sourire. Elle remarqua alors qu'il n'était pas seul, un autre garçon était là, surement du même âge, il s'était donc fait un nouvel ami ? C'est une bonne chose ça !

Avant que le pauvre félin n'eut le temps d'atterrir sur le sable fin, elle sauta de son dos pour rejoindre le sol avant lui et se précipita sur son petit protégé pour le prendre dans ses bras tellement il lui avait manqué. Il y a vingt quatre heure elle avait pensé ne plus jamais le revoir lorsqu'elle était retenue prisonnière sur ce maudit bateau, sa vie entre les mains des marines et condamné par la présence de granite marin. Jamais plus elle ne se ferait capturer, cette expérience avait été suffisamment dure à vivre, elle espérait que cela ne se saurait jamais, Ace ne devait pas être au courant, elle ne le voulait pas. Après une affectueuse accolade qui la rassura énormément, elle le regarda tendrement en souriant.

« Mon petit Akito ! Pourquoi tenais tu tant à me voir ? Tu t'es fait un nouvel ami ? C'est bien ça tu me le présente ♥ ?, tien d'ailleurs tu n'es pas sur le Moby Dick ? »

C'est seulement maintenant qu'elle réalisait que le petit bout de choux de son équipage était en dehors du vaisseaux mère, bon bien sûr on était pas obligé d'y rester toute la sainte journée une fois qu'on avait rejoindre l'équipage, mais il était rare que les membres se déplace, seul en tout cas. L'expérience de Ace avait été un suffisamment bon exemple, surtout que tout l'équipage était en ligne de mire de la marine qui ne rêvait que d'une chose : les décimer jusqu'au dernier membre. Qu'importe, pour le moment la seule préoccupation de la jeune fille était le petit garçon qui accompagnait son petit poussin, son tendre regard s'étant posé sur lui.

[Dsl du retard et de la qualité j'ai subis une total perte de motivation suite à ...]

Code:

Hors rpg : désolé pour le temps que j'ai mis à répondre : j'ai eu quelques problèmes assez graves IRL (la mort d'un ami entre autre...) et j'avoue que j'avais plus la motivation de rp. Cela dit, si ce post peut permettre à Nana de revenir vers nous, le jeu en vaut la chandelle... Tu nous manque Nana et j'espère vraiment que tu reviendras nous voir.

Décidément depuis la libération de Marco rien n'allait vraiment bien, elle enchainait les bourdes en se laissant posséder par la noirceur de son cœur, cela arrivait de plus en plus souvent et c'était bien inquiétant. Le pire c'était surement le faite que ça la prenait sans crier gare et qu'elle était incapable de se contrôler, il faudrait pourtant qu'elle finisse un jour par avoir le courage d'en parler à son capitaine, mais cela reviendrait à admettre qu'elle c'est facilement laisser capturer par un sale colonel de la marine. Peu glorieux pour un membre de l'équipage du Moby Dick, surtout que depuis la libération du cher phœnix, elle avait presque déserté l'équipage sans dire quoique se soit, juste de vague message flou et incohérent. À ne pas vouloir inquiéter les membres de l'équipage elle amplifiait en vrai leur inquiétude à agir si étrangement, mais il lui était impossible de leur parler de ses blessures, et encore moins une blessure dont elle avait du mal à guérir avec son propre fruit du démon. Ce qui l'avait profondément perturber aussi c'était qu'en se rendant à la G- elle s'était rapproché comme jamais de son île natale, car depuis qu'elle l'avait fuit il y a des années, jamais elle ne s'était retrouvée si proche de celle-ci. Un trop plein d'effroyable souvenir hanté ses nuits de cauchemars une frustration d'envie de s'y rendre voir ce qu'elle était devenue poignardé par ses dernières visions qu'elle avait eut en la quittant, à l'en rendre folle. Heureusement Figaro était toujours à ses côtés, c'était bien le seul qui pouvait y rester sans qu'elle ne cache quoi que se soit, tout comme elle il était après tout un des seuls survivant de son île natale, Kolasi Kingdom qui était leur même île natale.

Autant dire qu'elle eut une joie immense lorsque son petit Akito la contacta, depuis le temps qu'elle ne l'avait pas vu, ni même vue un quelconque visage amicale. La seule façon pour elle d'avoir des nouvelles des autres étaient grâce au journal, malheureusement l'équipage du Moby Dick se faisait discret, mais les wanted des membres de l'équipage eux l'étaient moins, notamment le petit Akito qui avait pour son jeune âge une belle prime, il rattrapait bien les débuts du jeune Luffy, mais si on faisait la comparaison par rapport à leur âge, alors il l'avait battu. Après l'appel elle sauta sur le dos de Figaro pour partir à la recherche du petit mignon de l'équipage, et arriva rapidement vers eux. Ni une ni deux elle courra à sa rencontre et le serra fort dans ses bras tant il lui avait manqué. À sa vue elle ne pouvait s'empêcher d'avoir un grand et large sourire, elle aussi à la vue de son sourire oublier tous ses troubles qui la pesait jusqu'alors. Pendant leur moment de tendresse, elle ferma les yeux le serrant fort contre elle pour mieux profiter de sa présence, elle avait l'impression de ne pas l'avoir vu depuis trop longtemps même.

Puis après un agréable moment de retrouvailles, leur attention se porta sur le nouveau arrivant qui accompagné Akito, il semblait avoir un peu près le même âge et très timide. La preuve en était, à peine elle le fixait avec un peu d'insistance, qu'il se mit à rougir et détourner du regard, il était trop mignon et lui plaisait déjà. Figaro lui restait presque en retrait de tout se débordement d'émotion, il avait encore dans les pattes la sieste dont il fut réveillé et dont il avait bien envie de retrouver. Le fauve était si endormit qu'il n'avait même pas l'idée d'effrayer le petit nouveau, car ses derniers temps l'animal aimait faire peur au enfant avant de rire comme le dernier des imbéciles. Il s'appelait donc Fenris Yuurei et devait donc être seul pour qu'il dise qu'il ne voulait pas le laisser derrière lui. Elle caressa les cheveux d'Akito en même temps qu'ils se rapprochaient de son bateau et adressa un large sourire au petit Yuurei.

« Tu as bien fait Akito, ça aurait en effet triste de le laisser. »

Une fois proche de celui-ci Akito saute à bord pour forcer le pauvre petit nouveau à avancer vers elle. Qu'est ce qui pouvait bien le rendre si timide ? Une bois à bonne hauteur il fit donc les présentations ce qui la fit bien sourire. La pirate continua d'observer le petit Yuurei se demandant comment les deux enfants s'étaient rencontré et quel était son but dans la vie, car s'ils le gardaient avec eux, il deviendrait un pirate de la flotte de Barbe Blanche, enfin si on peut toujours appeler cette flotte ainsi. Le petit nouveau resta à bonne distance, ni trop proche ni trop loin, il était trop mignon à s'exprimer si timidement qu'elle ne pouvait s'empêcher de le couver du regard.

« Enchanté mon petit Fenris, ravis de te connaître. Ainsi donc tu vas rester avec nous ? »

Elle lui dit cela avec un tendre sourire avant de poser sa main sur les cheveux clair du petit garçon pour les lui caresser doucement après s'être suffisamment rapproché pour pouvoir l'atteindre. Ça y est elle avait déjà de l'affection pour lui, en même temps le contraire aurait été difficilement envisageable.